Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Sciences de l'Homme & Métiers de l'Humain - Tome 2: De l'empirie à l'ingénierie
Promontoire - EAN : 9782953343953
Édition papier
EAN : 9782953343953
Paru le : 5 sept. 2014
18,00 €
17,06 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782953343953
- Réf. éditeur : SDH T2
- Editeur : Promontoire
- Date Parution : 5 sept. 2014
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 186
- Format : H:192 mm L:137 mm E:11 mm
- Poids : 280gr
-
Résumé :
Après avoir, dans le tome 1, pourfendu dans les sciences sociales le raisonnement mythique qui plafonne leur scientificité, Adrien Morel poursuit sa démarche en s’en prenant ici au caractère magique de leurs pratiques.
Tous les métiers, qu’ils concernent l’humain ou pas – l’auteur prend l’exemple de la marine à voile – se constituent en découvrant et en capitalisant empiriquement une efficacité, bien longtemps avant d’être en mesure de l’expliquer.
Ainsi tous les sorciers depuis la nuit des temps sont capables de repérer les effets d’une plante et d’en transmettre le savoir. La science apparait le jour où l’on est capable d’expliquer cette efficacité. Du même coup elle permet de la démultiplier. Les métiers concernés mutent alors de l’empirie à l’ingénierie.
Les métiers de l’humain ne font pas exception. Les sciences qui les concernent sont tout juste naissantes, et les praticiens confondent encore leur empirie avec une démarche expérimentale. On fait, mais on ne sait pas ce que l’on fait, du moment que « ça marche »… Les sciences sociales modernes sont ainsi pleines de pratiques magiques. Certaines même s’y réduisent.
L’auteur aborde successivement les tests de psychométrie (le Q.I.), les psychothérapies, les neurosciences, sans oublier en passant l’économie, la pharmacologie et la politique… Dans l’écart entre les pratiques qu’elles mettent en œuvre et les théories dont elles disposent pour en rendre compte, se déploie l’espace de la magie. Un jour prochain, pourtant, une authentique ingénierie succédera à cette empirie.