Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
LES CHRETIENS DEVANT LE FAIT JUIF
Beauchesne - EAN : 9782701000312
Édition papier
EAN : 9782701000312
Paru le : 1 avr. 1979
34,00 €
32,23 €
Epuisé
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Manquant sans date
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782701000312
- Réf. éditeur : 308189
- Editeur : Beauchesne
- Date Parution : 1 avr. 1979
- Disponibilite : Manque sans date
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 176
- Format : H:100 mm L:100 mm E:20 mm
- Poids : 701gr
- Interdit de retour : Retour interdit
-
Résumé :
Les textes publiés dans ce volume représentent une partie des exposés présentés à des Colloques de spécialistes d’histoire religieuse à Labussière. Ils visent moins à analyser en lui-même le fait juif, son évolution, les courants d’idées qui l’ont traversé, qu’à étudier le tracé des frontières, des lieux de passage : le judaïsme y est considéré comme ouvert sur l’autre par le prosélytisme, ou inversement crispé dans sa résistance, comme confronté à ses textes fondateurs et devenus canoniques, ou rencontrant une modernité qui le met en cause et du même mouvement le révèle à lui-même.
Il n’était pas dans le propos des auteurs de reprendre le débat sans cesse renaissant sur l’ « hellénisation » du christianisme ; encore moins de se situer sur le seul plan d’un débat d’idées : si le christianisme entretient des rapports nécessaires avec le judaïsme, il faut souligner que ce sont souligner que ce sont surtout des rapports avec le juif.
Le champ des problèmes ouverts est si vaste que seules quelques traces sont offertes dans ces pages. Elles désignent des analyses possibles, des pistes ouvertes à l’historien, non pas une synthèse, mais le lieu des questions, sinon des contradictions.







