La dernière reine, Victoria 1819-1901

Robert Laffont - EAN : 9782221090640
Philippe Alexandre,Béatrix de L'Aulnoit
Édition papier

EAN : 9782221090640

Paru le : 9 nov. 2000

23,00 € 21,80 €
Epuisé
Remplacé par : 9782221136829
Arrêt définitif de commercialisation
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782221090640
  • Réf. éditeur : 277123
  • Editeur : Robert Laffont
  • Date Parution : 9 nov. 2000
  • Disponibilite : Epuisé
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 432
  • Format : H:240 mm L:153 mm E:35 mm
  • Poids : 672gr
  • Interdit de retour : Retour interdit
  • Résumé :

    En 1901 mourait Victoria, symbole d'un siècle d'austérité. Loin de la légende "victorienne", on découvre ici une souveraine et une femmeardente.

    Il y a cent ans, la reine Victoria mourait et entrait dans la légende comme une petite dame obèse et impérieuse. Son nom symbolise un siècle d'hypocrisie, d'austérité sourcilleuse, de chasteté puritaine. Le moment est venu de corriger le mythe d'une Victoria "victorienne". La reine du plus grand empire depuis la Rome antique, la grand-mère de l'Europe, la souveraine de la révolution industrielle était une femme sensuelle qui aimait les hommes beaux, les soldats en uniforme, les Écossais en kilt, les Indiens en turban. Meilleure danseuse du royaume, elle raffolait des bals qui se terminaient à l'aube, elle ajoutait du whisky à son thé, apprenait l'Italien en chantant du bel canto. Séduite par les couleurs de la Méditerranée, elle lança la Côte d'Azur.Aux lords, elle préférait ses serviteurs simples et bons. Son peuple l'appelait "la reine républicaine". Mais à quarante-deux ans, devenue veuve, elle respecta aveuglément les principes luthériens d'Albert, son prince allemand, qu'elle avait aimé jusqu'à la folie.C'est une Victoria ardente et violente que fait revivre cette biographie sans révérence.

Haut de page
Copyright 2025 Cufay. Tous droits réservés.