Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
LE MEILLEUR ENNEMI QUE L'ARGENT PUISSE ACHETER
EAN : 9788419006554
Édition papier
EAN : 9788419006554
Paru le : 28 nov. 2022
24,00 €
22,75 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9788419006554
- Réf. éditeur : 4786512
- Date Parution : 28 nov. 2022
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 336
- Format : 1.80 x 15.30 x 23.50 cm
- Poids : 466gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : L'histoire que vous vous apprêtez à lire est véridique. Les noms n'y ont guère été changés, de façon à ne pas protéger les coupables. La première édition de ce livre provoqua, au milieu de la décennie 1970, l'anéantissement de la carrière d'Antony Sutton en tant que chercheur universitaire salarié par la prestigieuse Hoover Institution. C'était un prix élevé à payer pour Sutton, mais pas autant que le prix que vous et moi serons sommés de payer à cause des agissements que cet ouvrage décrit en détail. Sutton identifie les sourds et aveugles qui vendent aux Soviétiques le matériel dont ils ont besoin pour conquérir la planète, mais il faut dire que ces idiots utiles en retirent néanmoins un bénéfice : beaucoup d'argent. Ils ne se font pas payer en roubles mais touchent bien des dollars américains de la part des Soviétiques qui, à leur tour, obtiennent des prêts à long terme garantis par le contribuable américain. Leur motivation est assez facile à comprendre, mais qu'en retiennent les universitaires et médias officiels ? Ce livre n'est pas vraiment fait pour être lu mot à mot. C'est une sorte de réquisitoire d'avocat, rempli de faits et de preuves, et si ces faits n'étaient pas décrits et ces preuves n'étaient pas fournies, alors la thèse de l'ouvrage paraîtrait trop tirée par les cheveux pour être acceptée tant la réalité peut sembler irréelle après lecture. Ces faits et preuves convergent vers une conclusion inéluctable : l'Occident a été trahi par ses élites et chefs de ses principales entreprises avec l'entière complaisance de ses dirigeants politiques nationaux. « Le commerce avec l'Union soviétique a fabriqué pour le monde libre un ennemi de premier plan [...] Seul un corps électoral convenablement informé et éclairé disposerait potentiellement d'un pouvoir suffisant pour contrecarrer ces ambitions suicidaires. » (Antony C. Sutton).
- Biographie : Antony Cyril Sutton (1925-2002) est un économiste et essayiste américain d'origine britannique. Titulaire d'un doctorat en Sciences, il devient chercheur au sein de la Hoover Institution de l'Université de Stanford, de 1968 à 1973, après avoir enseigné l'Économie à l'UCLA (Université de Californie à Los Angeles). Il est diplômé des Universités de Londres, de Southampton, de Göttingen et de Californie. En 1972, au sein de la Hoover Institution, il subit la censure de la part de son directeur de recherche qui tente d'empêcher la publication de son livre National Suicide. Il se fera surtout connaître pour son livre America's Secret Establishment, dans lequel il analyse la Société Secrète Skull & Bones (issue de l'Université de Yale) et révèle ses membres. Selon Sutton : « la synthèse ultime des Skull & Bones est le Nouvel Ordre Mondial ». Il théorisera également sur l'ensemble des connexions existantes entre « Wall Street » et les personnages clés ayant provoqué la Révolution bolchevique, l'ascension du National Socialisme et la montée du Capitalisme américain. Pierre de Villemarest, spécialiste des questions mondialistes, décrira Antony Sutton comme « le seul auteur qui ait jamais disséqué les contrats grâce auxquels les totalitarismes nazi et soviétique ont pu vivre et survivre économiquement ». Sutton aborde aussi en 1997 le thème de la « Fusion froide » dans son livre Cold Fusion.