Psaume LXV « Ô Dieu ! la louange t’attend ! » pour chœur mixte (SATB)

Symetrie - EAN : 9790231800944
JAELL MARIE
Édition papier

EAN : 9790231800944

Paru le : 1 juil. 2003

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  • EAN13 : 9790231800944
  • Réf. éditeur : SYM-94-4
  • Editeur : Symetrie
  • Date Parution : 1 juil. 2003
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 24
  • Format : H:297 mm L:210 mm E:5 mm
  • Poids : 88gr
  • Résumé : Cette partition a été restituée d’après un manuscrit conservé à la Bibliothèque nationale et universitaire de Strasbourg. Il s’agit d’un chœur à quatre voix écrit par Marie Jaëll et dédié à son époux. Précisons qu’à Steinseltz, en Alsace, où le compositeur est né, ce psaume de louange convient particulièrement aux fêtes des récoltes.

    Dans un souci de fidélité au texte manuscrit, seules les nuances et indications musicales existantes ont été reportées. Toutefois, pour faciliter la lecture, les altérations qui faisaient défaut ont été ajoutées, de même pour le report des paroles sous les voix où elles ne figuraient pas. Enfin, il a fallu ajouter quelques diérèses et placer certaines syllabes en raison de l’imprécision de la notation manuscrite.
  • Biographie : Marie Trautmann est née le 17 août 1846 à Steinseltz, petit village situé au nord de l’Alsace. Elle montre très tôt des dons exceptionnels pour l’étude du piano et reçoit les conseils de Moschelès. Puis, en décembre 1856, elle est présentée à Henri Herz, professeur à Paris. En 1862, elle revient dans la capitale et se présente au concours du Conservatoire où elle remporte un premier prix. En 1866, Alfred Jaëll et Marie Trautmann se rencontrent en Allemagne et se fiancent en présence de Liszt. Alfred Jaëll, pianiste né à Trieste en 1832, fut élève de Czerny et côtoya Chopin, Brahms, Nikolaï Rubinstein et Liszt.

    Le 9 août 1866, Alfred épouse Marie ; le couple s’installe à Paris et donne de nombreux concerts à travers la France, l’Allemagne, la Suisse, l’Italie, l’Angleterre et la Russie. La guerre de 1870 met fin au projet des Jaëll d’aller vivre à Leipzig, où Alfred devait prendre la succession de Moschelès au Conservatoire et diriger la Neue Zeitschrift für Musik, fondée par Schumann.

    Pour devenir pleinement « artiste française », Marie Jaëll s’intéresse alors à la composition. Vers 1870, elle prend quelques leçons avec César Franck, puis travaille régulièrement l’écriture et l’orchestration avec Camille Saint-Saëns, représentant international de l’école française. Les œuvres de Marie Jaëll sont publiées dès 1871. Liszt se charge de faire éditer ses Valses à quatre mains et les joue avec Saint-Saëns à Bayreuth. Soliste, elle joue son Concerto pour piano avec l’orchestre Colonne. Sa Fantaisie pour violon et piano est jouée à la Société nationale le 7 mai 1881 avec Teresa Milanollo au violon. Son Concerto pour violoncelle avec accompagnement d’orchestre est joué par Delsart avec l’orchestre Lamoureux à Paris, salle Érard, en mai 1882. En 1879, Marie Jaëll entreprend également d’écrire le livret et la musique d’un poème symphonique, Ossiane. Le prélude et la deuxième partie furent exécutés chez Érard. En 1887, sur sa demande et sur la proposition de Saint-Saëns et Fauré, elle est l’une des toutes premières femmes à être admise comme membre actif de la Société des compositeurs de musique.

    Malgré sa volonté d’appartenir à une école purement française, elle reste proche de Liszt. De 1883 à 1885, elle séjourne trois fois à Weimar auprès du maître. Ce dernier la considère comme une collaboratrice : elle devient ainsi l’auteur des dernières lignes de la troisième Mephisto-Walz et relit les épreuves de la Faust-Sinfonie. Liszt lui rend visite une dernière fois en 1886 à Paris, alors qu’il vient assister à l’exécution de sa Messe de Gran dirigée par Colonne. En 1891 et 1892, elle donne à deux reprises dans la capitale française l’intégrale de l’œuvre pour piano de Liszt. À cette occasion, Saint-Saëns aurait déclaré : « Il n’y a qu’une personne au monde qui sache jouer Liszt, c’est Marie Jaëll. » En 1893, elle donne l’intégrale des sonates de Beethoven et, en 1901, tout Schumann. Pourtant, à partir de 1894, elle délaisse sa carrière de soliste et de
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