Morvan lez Breizh

Yoran Embanner - EAN : 9782916579740

SIOU GILBERT

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Édition papier

EAN : 9782916579740

Paru le : 20 avr. 2016

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Détails

EAN13 : 9782916579740
Réf. éditeur : YE-ROM02
Editeur : Yoran Embanner
Date Parution : 20 avr. 2016
Disponibilite : Disponible
Barème de remise : NS
Nombre de pages : 140
Format : H:110 mm L:170 mm
Poids : 200gr

Résumé

Résumé : La vie passionnante de Morvan Lez Breizh au service de la Bretagne. Morvan est mort en 818. La tradition en fait un chevalier tel Lancelot ou Éreg (Waroc’h) pour ne citer que des Bretons. Si Morvan était un héros de littérature (on trouve à peine quelques pages sur lui dans les annales), un statut de chevalier lui irait comme une selle à un cheval, mais Morvan a réellement existé, il s’est battu et il est mort pour sa patrie, la Bretagne, qui refusait de payer le tribut aux Francs. Morvan est un chef, probablement autoproclamé ou élu Roi, menant ses bandes armées aux marches de Bretagne et sans doute bien au-delà pour piller, brûler les riches domaines francs et repousser les frontières de la Neustrie au plus loin de ses terres. Ce n’est pas l’attitude d’un chevalier ni d’un héros romantique né d’un folklorisme tardif, mais d’un guerrier sans pitié conduit par le patriotisme, l’audace, le profit et peut-être, la quête d’une gloire immortelle. Il se peut que Morvan ait eu un rapport particulier avec la mort. L’idée bien bretonne de sa présence à ses côtés lui serait familière, presque rassurante. Une Moïra bretonne tiendra le fil conducteur de ce roman, en attendant sa rencontre avec l’Ankou.
Biographie : Gilbert Siou, ancien ingénieur des Constructions navales a beaucoup voyagé, Europe, Amérique, Asie. Il finira sa carrière dans les bureaux parisiens de la rue Royale, hantés par le fantôme de Maupassant. Retraité, il commence une carrière littéraire avec des livres de souvenirs et de nouvelles puis des romans historiques. Après le Moyen âge avec le roi Morvan, la Renaissance avec Hervé de Portzmoguer, il aborde la Révolution avec Terreur à Brest. Mais sa période préférée reste les années cinquante (Mon Brest des années cinquante et Une jeunesse brestoise après la guerre) où apprenti à l’Arsenal, il s’éveillera par le travail manuel, qui le conduira paradoxalement à des études supérieures.