Mai 68 sous les pavés, la répression juin 1968-mars 1974

Cherche Midi - EAN : 9782862745664
Maurice Rajsfus
Édition papier

EAN : 9782862745664

Paru le : 14 avr. 1998

15,20 € 14,41 €
Epuisé
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Manquant sans date
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782862745664
  • Réf. éditeur : 349275
  • Collection : DOCUMENTS
  • Editeur : Cherche Midi
  • Date Parution : 14 avr. 1998
  • Disponibilite : Manque sans date
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 251
  • Format : H:241 mm L:157 mm E:21 mm
  • Poids : 400gr
  • Résumé : Le pire restait à venir

    Il est de bon ton aujourd'hui de ne voir dans Mai 68 qu'un embrasement des utopies qui, à terme, aurait permis de libéraliser les moeurs d'une société figée. Pourtant, n'en déplaise à certains, la répression policière et politique fut violente, enragée même, pendants les événements.
    Mais – et ce jusqu'en mars 1974 –, le pire restait à venir, sous la férule d'un ministre de l'Intérieur, Raymond Marcellin, persuadé de protéger son pays du complot international qui en menaçait l'intégrité. Tout ce qui constituait les forces vives de la France des droits de l'homme était suspecté d'avoir un esprit contestataire, et forcément réprimé avec la plus grande énergie.
    Journaux, livres, films et pièces de théâtre interdits ; tableaux condamnés à être détruits : ce fut le temps de la "grande noirceur" moraliste. Nul n'était désormais à l'abri de la police et de
    la machine judiciaire, particulièrement attentives au moindre bruissement dans les lycées, dans les facultés. Comme en écho aux arrestations arbitraires, les lois étaient violées ou modifiées selon les besoins du pouvoir.
    Documents à l'appui, Maurice Rajsfus rappelle ce que furent ces années où la démocratie se trouva placée en résidence surveillée, loin de la légende d'un printemps éblouissant.

Haut de page
Copyright 2025 Cufay. Tous droits réservés.