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La guerre du Pacifique
EAN : 9782344070543
Paru le : 27 août 2025
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- EAN13 : 9782344070543
- Réf. éditeur : 8731583
- Collection : HISTOIRE
- Editeur : Glenat
- Date Parution : 27 août 2025
- Disponibilite : Pas encore paru
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 192
- Format : H:320 mm L:240 mm
- Poids : 0gr
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Résumé :
De Pearl Harbor à Nagasaki
Du mois de décembre 1941 à celui d’août 1945, les Alliés, principalement les Américains, et les Japonais s'affrontent dans une guerre dont la caractéristique principale est de se dérouler sur le plus grand espace marin de la planète qu'est l'océan Pacifique. Plus de 8 000 km ne séparent-ils pas Tokyo de San Francisco ? Et si la base de Pearl Harbour, dans les îles Hawaï, ne se situe qu’à quelque 4 000 km des côtes américaines, les grandes batailles aéronavales et terrestres se dérouleront comme celle de Guadalcanal dans les îles Salomon, encore 6 000 km plus loin. Quant aux Japonais, les distances qu'ils auront à franchir seront souvent presque équivalentes puisque plus de 5 500 km séparent Tokyo de de Guadalcanal.
Mais pourquoi une telle guerre et tant de batailles si loin de « chez soi » ? Parce que les Japonais entendent construire autour d'eux un immense empire qu’ils baptisent « Sphère de coprospérité ». Une sphère de coprospérité qui s'étendrait de la Chine sur le continent aux Indes néerlandaises en direction de l'Australie. Pour y parvenir il faut rendre toute intervention américaine impossible en détruisant sa flotte du Pacifique. En cas d'échec, le pire est à redouter et l’état-major impérial nippon le sait. Or l'attaque contre Pearl Harbor, petit succès tactique évident pour le Japon, est surtout pour lui… une grande défaite stratégique. Pour une raison simple, les porte-avions américains et les principales installations portuaires sont demeurés intacts.
Dès lors et jusqu'en 1945, le rapport des forces va, car il ne peut, qu’évoluer en faveur des États-Unis dont la puissance économique et industrielle est dix fois supérieure à celle du Japon. Mais il faudra, pour y parvenir 4 années de guerre, accompagnées d'un bilan humain et matériel terrifiant. Un bilan dont la dernière ligne sera écrite les 6 et 9 août 1945 lorsque 2 bombes atomiques seront larguées sur les villes japonaises d'Hiroshima et de Nagasaki, faisant entrer la guerre et l'humanité dans une ère nouvelle. Celle de l’Apocalypse nucléaire !
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Biographie :
Frédéric Guelton est historien et ancien officier (colonel) de l’armée française. Saint-Cyrien, il est titulaire d’un doctorat d’histoire de l’université de Paris, Panthéon-Sorbonne. Il a, pendant plus de trente ans, exercé le double métier d’officier et d’historien au sein du ministère français de la Défense. Il était, dans sa dernière fonction, chef du département de l’armée de Terre du service historique de la défense. Il y a, entre autres, enseigné l’histoire des relations internationales à l’Institut d’Études Politiques de Paris (Sciences-Po.) et continue à enseigner l’histoire militaire à École spéciale militaire de Saint-Cyr. Il co-dirige également un séminaire d’histoire appliquée à la formation au management de l’EDHEC. Ancien rédacteur en chef de la Revue historique des armées, il a été, de 2013 à 2019, membre du Conseil scientifique de la Mission du Centenaire et a, à cette occasion, travaillé comme conseiller historique de nombreux documentaires dont la série Apocalypse, Première Guerre mondiale pour France Télévisions. Spécialiste de l’histoire de la guerre, principalement des deux guerres mondiales et des guerres de décolonisation, il a, sur ces questions, prononcé de nombreuses conférences, et publié tout un ensemble de livres et d’articles.