DEUX ETUDES SUR LA PENSEE DE MAURICE BLONDEL

Beauchesne - EAN : 9782701004549
TONQUEDEC JOSEPH DE
Édition papier

EAN : 9782701004549

Paru le : 1 avr. 1936

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  • EAN13 : 9782701004549
  • Réf. éditeur : 308406
  • Editeur : Beauchesne
  • Date Parution : 1 avr. 1936
  • Disponibilite : Manque sans date
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 177
  • Format : H:100 mm L:100 mm E:20 mm
  • Poids : 501gr
  • Interdit de retour : Retour interdit
  • Résumé : LA DOCTRINE BLONDELIENNE DE LA CONNAISSANCE d'après « La Pensée ».
    Après un silence de plusieurs années, coupé seulement d'interventions occasionnelles et relativement brèves dans les débats philosophiques, M. Blondel nous offre aujourd'hui un ouvrage en deux volumes - plus de 1.000 pages -, médité et mûri à loisir, qui nous révèle ses positions définitives sur le problème de la pensée. Un autre nous est promis qui aura pour objet -l'être, et enfin, sur ces larges assises, seront reprises les questions jadis traitées par l'auteur dans L'Action.
    Pour le moment, nous avons donc affaire au seul problème de la pensée. Bien que « l'être et l'action » soient « le support ; le ressort de la pensée elle-même », et que « la solution complète du problème [de la pensée] implique l'étude nécessairement complémentaire » (l, XL) de ces deux réalités, on commence par la pensée, on part du fait de la pensée et on en cherche les conditions. On ne considère pas les résultats de la pensée, mais son exercice, non ce qui est pensé, mais le penser lui-même dans sa vie concrète (l, XII, XV). « Nous cherchons ce qui est impliqué en chaque pensée et en toute pensée… un « invariant » très réel dans la variabilité illimitée », « un quid proprium, un quid commune, la présence effective ou même efficiente d'un dynamisme reliant tous les états en apparence épars ou même exclusifs les uns des autres » (I, xxx). Mais ceci ne peut se faire sans employer les procédés réflexifs. Il y aura donc, appliquées à la pensée vivante, « analyse », « étude philosophique », tendant à en constituer « la science organique » (l, XXXI, XXXIII, XXXVII).
    Dans le nouvel ouvrage dont l'objet est ainsi circonscrit, on rencontrera néanmoins plus d'une anticipation des problèmes ultérieurs et les principes qui serviront à les résoudre. Il n'en saurait être autrement de par la nature des choses et le caractère très synthétique de l'esprit de l'auteur. La philosophie générale de M. Blondel, celle que nous connaissions depuis L'Action, se retrouve, avec toute sa substance et ses articulations maîtresses, dans les deux volumes sut La Pensée. Nous en avons là un abondant commentaire explicatif et, par endroits, rectificatif : si l'on mettait en regard les textes de l'ouvrage récent et ceux des ouvrages anciens - tels qu'ils sont reproduits, par exemple, dans notre livre Immanence, - leur parallélisme, leur continuité foncière, parfois même leur similitude verbale éclaterait aux yeux. Du reste, l'auteur lui-même se réfère plusieurs fois de façon explicite à ses publications antérieures et les cite ici et là. Ce qu'il écrit aujourd'hui est destiné à les éclairer, à les compléter, à infléchir dans un sens plus sûr ou même à arrêter à temps certains de leurs développements, du moins à en émousser la pointe provocante.
    Mais La Pensée n'est pas seulement ce commentaire et contient autre chose que des corrections. Sur le tronc des doctrines primitives germent et pullulent quantité de réflexions nouvelles,
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