Dans un temple zen

Arlea - EAN : 9782363081292
Sébastien Ortiz
Édition papier

EAN : 9782363081292

Paru le : 2 mars 2017

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  • EAN13 : 9782363081292
  • Réf. éditeur : 893923
  • Collection : LA RENCONTRE
  • Editeur : Arlea
  • Date Parution : 2 mars 2017
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 112
  • Format : H:206 mm L:126 mm E:10 mm
  • Poids : 130gr
  • Résumé : Expérience d'un jeune garçon de 20 ans vivant un an dans un temple Zen à Taiwan jusqu'à sa rencontre avec la poésie de Guillaume Apollinaire. Récit autobiographique.

    À l'âge de 20 ans, suite à une déception amoureuse, le narrateur part pour Taiwan sans trop savoir que faire de sa vie. Il se laisse séduire par l'accueil d'un bonze dans un temple zen du nord de l'île. Seul étranger à y être accueilli, alors que rien ne l'y préparait, il découvre, avec le regard ingénu et confiant de la jeunesse, le quotidien des moines et des nonnes bouddhistes, rythmé par la méditation et l'étude des textes. Il apprend le chinois, la méditation, épouse peu à peu leur existence tissée de passions simples, en harmonie avec une nature qui fait écho à l'imaginaire poétique de la Chine. Il se lie d'amitié avec celles et ceux qui ont choisi la voie monastique et lui livrent des bribes de leur histoire et devient ainsi Maître du tambour et donc Maître du temps.
    Ce bel équilibre est rompu avec une grâce soudaine.

    Extrait :
    Il me fallut peu de temps pour épouser le rythme monastique. C'était, jour après jour, le même canevas, immuable comme la fuite des jours. Deux durées scandaient l'aventure individuelle et collective : celle de la recherche de la paix intérieure et de la vacuité de l'esprit par la méditation, et celle qui organisait les grands mouvements cycliques de la nature – l'alternance des jours et des nuits, la course des astres, le bruissement des arbres, l'éclosion des fleurs, la chute des feuilles.
    A quatre heures trente retentissaient les premiers coups de tambour. Les portes coulissaient, les moines sortaient en silence, ceints de leur kolomo plus sombre que la nuit...

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