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Associations « endogènes » et réseaux associatifs en centrafrique
EAN : 9782414076499
Édition papier
EAN : 9782414076499
Paru le : 12 avr. 2018
8,50 €
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- EAN13 : 9782414076499
- Réf. éditeur : 833622
- Date Parution : 12 avr. 2018
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 38
- Format : H:240 mm L:170 mm E:2 mm
- Poids : 109gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : La théâtralisation des associations endogènes à travers les pratiques et les représentations liées à la migration urbaine s’appuyant sur l’analyse des conditions subjectives du projet migratoire par la prise en compte de l’imaginaire des sujets candidats à la migration, tend de plus en plus à devenir un phénomène important dans la stratégie des ruraux à s’adapter dans un monde en pleine mutation. Les acteurs ruraux implantés dans les zones urbaines ou semi-urbaines d’accueil sont considérés comme des relais de référence identitaire ou tribalo-ethnique. Ils garantissent du coup une « entrée » pour la réussite de l’intégration dans la société moderne à partir de trois principes fondamentaux : la solidarité, l’entraide et l’enracinement local.
- Biographie : Aboubakar Moukadas-Nouré est maître de conférences au département des sciences sociales de l'université de Bangui. Il examine le phénomène de la prolifération des structures associatives de base en République Centrafricaine. Celui-ci est lié à la faillite de l’État consécutif aux troubles militaro-politiques et la mauvaise gestion des biens publics des années 1978. Aussi, l'on remarquera une implantation des groupements en milieu péri-urbain, où des études ont révélé un taux de prévalence associative de l’ordre de 65 %. De plus, l’analyse des dates de création de ces groupements montre qu’elles sont postérieures à 1998, coïncidant ainsi avec le début des difficultés de toutes parts qu’a connues la R.C.A., caractérisées par des remous sociaux et une contestation« ouverte » de l'autorité de l'état.