Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
HYMNE A L'AMOUR - ROMAN
EAN : 9782925098836
Édition papier
EAN : 9782925098836
Paru le : 8 juil. 2024
14,90 €
14,12 €
Epuisé
Arrêt définitif de commercialisation
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782925098836
- Réf. éditeur : 3927997
- Collection : PERSEIDES
- Date Parution : 8 juil. 2024
- Disponibilite : Epuisé
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 158
- Format : 0.00 x 14.80 x 21.00 cm
- Poids : 200gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : Dans la lignée de Victor Hugo (Notre-Dame de Paris), Hymne à l'amour est le nouveau roman de l'auteure Thérèse Zrihen-Dvir dont l'oeuvre continue de paraître en français et en anglais notamment. Une fiction qui vous émouvra ! Voici l'avis de Philippe Arnon, écrivain : « Le nouveau livre de Thérèse Zrihen-Dvir "Hymne à l'amour", s'agissant de la littérature, est de la hauteur de la philosophie chez Hannah Arendt et de celle des notions de dhimmitude et d'Eurabia si talentueusement développées par Bat Yé'Or. Dès les premières pages et comme au cinéma, on glisse ses deux pieds joints ou plutôt devrais-je dire, toute son âme, dans l'histoire avec cette forte envie étrange qui prend tout spectateur, d'intervenir parfois, de souffler un mot, un conseil aux personnages. J'ai déjà ressenti cette force d'attraction quand je me suis mis à lire Crime et châtiment de Dostoïevski. Les deux héros de « Hymne à l'amour », Arielle et Gaëtan, comme Raskolnikof, m'ont tout de suite cerné, enlacé, envoûté. Les phrases de Thérèse Zrihen-Dvir évoquent pour moi ces grandes rivières françaises - la Marne, le Loir, le Cher - dont le courant, jamais impétueux et donc, à peine perceptible mais toujours porté par une puissance évidente, les mènent à travers la verdure qui les entoure, vers l'estuaire du grand fleuve du destin qui s'achève dans une conclusion heureuse. Cette conclusion heureuse est finalement le sens de la vie qui a fini, après de longues batailles, par triompher parce que finalement pour Thérèse Zrihen-Dvir, la vie des hommes et des femmes, ce n'est pas un film américain classique au point d'en être bêtement banal parce qu'il finit généralement par « ils s'aimèrent et eurent beaucoup d'enfants », c'est une équation qui a été décidé par le Grand Juge... Dieu, bien sûr ! »