LE CONTENTIEUX DES ACTES ADMINISTRATIFS NON DECISOIRES - CONTRIBUTION A UNE TYPOLOGIE DU DROIT SOUPL

Mare Martin - EAN : 9782849342060
ZAGORSKI WOJCIECH
Édition papier

EAN : 9782849342060

Paru le : 7 janv. 2016

50,00 € 47,39 €
Epuisé
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Manquant sans date
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782849342060
  • Réf. éditeur : G72041
  • Collection : BIBLIOTHEQUE DE
  • Editeur : Mare Martin
  • Date Parution : 7 janv. 2016
  • Disponibilite : Manque sans date
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 484
  • Format : 3.70 x 16.00 x 23.80 cm
  • Poids : 768gr
  • Interdit de retour : Retour interdit
  • Résumé :

    Tous les juristes connaissent la distinction entre les décisions administratives et les actes administratifs non décisoires. Cette distinction détermine, en principe, la recevabilité du recours contentieux ; elle a fait l'objet de nombreux travaux. Les distinctions entre les actes non décisoires restent en revanche très largement méconnues. Or, la prise en compte des actes non décisoires par les instances juridictionnelles, aussi bien administratives que judiciaires, incite à repenser la place reconnue à ces actes, à la fois dans la pratique et dans la théorie du droit.

    En effet, certains de ces actes - comme les recommandations de bonnes pratiques médicales - peuvent faire l'objet d'un recours pour excès de pouvoir et sont pleinement invocables devant le juge. Les autres - comme les voeux, ou les circulaires - échappent le plus souvent à toute contestation, et ne peuvent pas être utilement invoqués en justice. D'autres enfin - comme les actes préparatoires, ou les "lignes directrices" - sont soumis à un régime juridique intermédiaire : insusceptibles de faire l'objet d'une contestation directe, ces actes font l'objet d'une exception d'illégalité et les justiciables peuvent s'en prévaloir à l'appui de leurs prétentions. Comment expliquer ces différences ?

    En tentant de répondre à cette question, l'auteur constate que l'hétérogénéité actuelle du droit souple n'est pas toujours justifiée. D'où l'idée d'une simplification possible, qui consisterait à soumettre les actes non décisoires à un régime juridique plus homogène et permettrait de leur réserver un traitement juridictionnel plus uniforme. Cette simplification n'est pourtant envisageable que si l'on franchit au préalable les barrières théoriques séparant le droit "souple" du droit "dur". En s'appuyant sur les acquis de la philosophie générale du langage, l'auteur propose donc une systématisation des connaissances, en intégrant les actes non décisoires dans la famille des actes unilatéraux, traditionnellement considérés comme contraignants. La simplification de la pratique jurisprudentielle passe donc par une sorte d'unification théorique. Tels sont les principaux objectifs de la présente thèse.

Haut de page
Copyright 2025 Cufay. Tous droits réservés.