Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
COMEDIE ET PHILOSOPHIE - SOCRATE ET LES PRESOCRATIQUES DANS LES..
ULM - EAN : 9782728804955
Édition papier
EAN : 9782728804955
Paru le : 23 sept. 2013
20,00 €
18,96 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782728804955
- Collection : ETUDES DE LITTE
- Editeur : ULM
- Date Parution : 23 sept. 2013
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 260
- Format : 1.30 x 16.10 x 24.00 cm
- Poids : 425gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : Les Nuées, qu’Aristophane même considérait comme la plus « savante » ou « habile » de ses œuvres, inaugurent avec éclat la longue histoire des rapports de l’intellectuel avec le monde. Le chemin qui conduit à l’abolition des dettes contractées par un fils dispendieux passe-t-il par celui des connaissances ? Le père endetté, qui répond au nom transparent de Strepsiade – M. Retourneur –, tente sa chance. En vain : c’est un lourdaud. Lui-même emberlificoté par un fils qui excipe de la leçon des philosophes pour le frapper, il se retournera finalement contre le « Pensoir », l’école philosophique dont Socrate est ici le représentant attitré. La pièce d’Aristophane, avec la virulence propre à la comédie et les ressources propres au théâtre, parle de la relation entre la théorie et la pratique, mais aussi de celle entre les Nuées, divinités aussi suprêmes que complexes, et les simplets que nous sommes tous ; elle parle de la langue et des théories philosophiques, dont elle construit l’unité sous-jacente et dénonce la complicité profonde, par-delà leur confrontation de surface. En fin de compte, la comédie se révèle école de pensée. Platon saura s’en souvenir.



















