Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
LES CONFESSIONS D'UN BOURGEOIS
EAN : 9782253933694
Paru le : 23 oct. 2002
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782253933694
- Réf. éditeur : 4233698
- Collection : BIBLIO
- Editeur : LGF
- Date Parution : 23 oct. 2002
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 573
- Format : 2.50 x 11.00 x 17.80 cm
- Poids : 304gr
-
Résumé :
Avec cette grande «histoire de famille» inspirée par la vie des siens, l’écrivain hongrois Sándor Márai (1900-1989) écrit sa Confession d’un enfant du siècle, tout à la fois itinéraire personnel et description subtile de la bourgeoisie hongroise au début du xxe siècle.
Intellectuel, voyageur, journaliste à la Frankfurter Zeitung, Márai fréquente les cercles de Montparnasse,se souvient de ses ancêtres, riches artisans d’origine saxonne ou morave, des traditions et des idéaux qui ont peu à peu pétri un milieu épris de démocratie et de modernité avant que son accession au pouvoir et l’oubli de ses devoirs ne le condamnent au déclin.
Mêlant mémoires et confessions, retraçant son propre parcours d’artiste, l’auteur de La Conversation de Bolzano et des Révoltés dit sa fidélité aux origines, évoque le bonheur d’une petite ville hongroise de province où cohabitent Hongrois, Allemands, Slovaques, Juifs, et qui prend rapidement la dimension du monde. -
Biographie :
Né en Hongrie en 1900, Sándor Márai connaît dès ses premiers romans un immense succès. Antifasciste déclaré dans une Hongrie alliée à l’Allemagne nazie, il est pourtant mis au ban par le gouvernement communiste de l’après-guerre. En 1948, il s’exile et part pour les États-Unis où il mettra fin à ses jours en 1989. Ses œuvres, redécouvertes dans les années 1990, jouissent dans le monde entier d’une réputation comparable à celles de Zweig, Roth ou Schnitzler.