Zoran Music à Dachau. La barbarie ordinaire

Arlea - EAN : 9782363081735
Jean Clair
Édition papier

EAN : 9782363081735

Paru le : 12 déc. 2018

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  • EAN13 : 9782363081735
  • Réf. éditeur : 696064
  • Collection : ARLEA-POCHE
  • Editeur : Arlea
  • Date Parution : 12 déc. 2018
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 200
  • Format : H:180 mm L:111 mm E:13 mm
  • Poids : 157gr
  • Résumé : En septembre 1944, le peintre Zoran Mušič est déporté à Dachau. Il y réalise, au risque de sa vie, une centaine de dessins décrivant ce qu'il voit : les scènes de pendaison, les fours crématoires, les cadavres empilés par dizaines, c'est-à-dire l'indescriptible. La question que pose ce livre est la suivante : que pouvait alors la mémoire contre la mort, l'art contre l'indicible ? Non pas " après ", mais dans le quotidien de la vie des camps ? Et que peut-elle aujourd'hui ?

    Plutarque raconte que, des sept mille Athéniens faits prisonniers durant les guerres de Sicile, échappèrent aux travaux forcés dans les latomies, et donc à la mort, ceux qui surent réciter à leurs vainqueurs Grecs comme eux, quelques vers d'Euripide. Les nazis n'appliquèrent pas ce trait de clémence antique aux déportés des camps.
    Pourtant la mémoire – la culture – joua un rôle majeur dans le destin de certains déportés.
    En septembre 1944, le peintre Zoran Mušič est déporté à Dachau. Il y réalise, au risque de sa vie, une centaine de dessins décrivant ce qu'il voit : les scènes de pendaison, les fours crématoires, les cadavres empilés par dizaines, c'est-à-dire l'indescriptible.
    La question que pose ce livre est la suivante : que pouvait alors la mémoire contre la mort, l'art contre l'indicible ? Non pas " après ", mais dans le quotidien de la vie des camps ? Et que peut-elle aujourd'hui ?

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