Velazquez. L'Affrontement de la peinture

Cohen Et Cohen - EAN : 9782367490168
Guillaume Kientz
Édition papier

EAN : 9782367490168

Paru le : 12 mars 2015

95,00 € 90,05 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782367490168
  • Réf. éditeur : 588060
  • Editeur : Cohen Et Cohen
  • Date Parution : 12 mars 2015
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 382
  • Format : H:328 mm L:283 mm E:49 mm
  • Poids : 3.75kg
  • Résumé : Cohen&Cohen publiera à l'occasion de la grande rétrospective Velàzquez du Grand Palais, au printemps 2015, une monographie de référence, dans la même collection que Greco.Biographie d'un peintre extravagant. Écrite par Guillaume Kientz, conservateur du département de la Peinture espagnole au musée du Louvre, elle comprendra l'intégralité de l'œuvre peinte du maître ainsi que de nombreuses reproductions de toiles d'autres artistes, contemporains, ou l'ayant inspiré.

    Il n'est pas facile d'écrire sur Diego Velázquez et on serait en droit de se demander si cela en vaut la peine, s'il reste quelque chose à apporter, quelque chose qui légitime la publication d'un ouvrage nouveau, quelque chose qui justifie qu'on dérange au tombeau un artiste et son œuvre.
    Non pas que la peinture de Velázquez serait morte ou n'aurait plus rien à dire, mais a-t-elle besoin de nous pour parler ? Velázquez n'a pas laissé de codicille ou de vadémécum pour profiter de ses tableaux. Ce qu'il avait à dire, il l'a dit avec son pinceau, ce qu'il voulait écrire, il l'a imprimé de son style. Les mots, si bien choisis soient-il, ne viennent que parasiter la vibration propre de la peinture et il faut se méfier de leur séduction qui cachent bien souvent un danger, comme un coup d'état littéraire, où l'écriture, soudain artiste, détourne son objet, se hisse sur ses épaules. On dira " que c'est bien écrit " là où il n'aurait jamais fallu dire autre chose que " Dieu que c'est peint ".

    Prix Académie française 2015, François-Victor Noury.

Haut de page
Copyright 2025 Cufay. Tous droits réservés.