Un yéti au bahut

EAN : 9782334121583
Jean-Louis Marroncle
Édition papier

EAN : 9782334121583

Paru le : 31 mars 2016

15,00 € 14,22 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782334121583
  • Réf. éditeur : 756020
  • Collection : CLASSIQUE
  • Date Parution : 31 mars 2016
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 156
  • Format : H:204 mm L:134 mm E:12 mm
  • Poids : 190gr
  • Interdit de retour : Retour interdit
  • Résumé : Après Reflets de brousse, dans ce second ouvrage autobiographique, l’auteur témoigne de huit années (1954-1962) passées dans l’ancien lycée Ferdinand Foch de Rodez (Aveyron). Par une succession d’anecdotes, il évoque ce qu’étaient alors les conditions de l’internat, mais révèle aussi comment sa personnalité s’est progressivement façonnée, au travers de ce qu’il appelle ses quatre « écoles de la vie ». Extrait 1 :De ce vieux bahut du centre ville (...) subsistent toujours sa chapelle historique, son porche d'entrée et divers corps de bâtiments reconvertis. Une fois le porche d'entrée franchi, je me souviens d'un long couloir d'accès (l'ancien cloître) flanqué de la loge du concierge, lieux aussi peu accueillants l'un que l'autre... d'autant plus que ce couloir, qui servait de parloir, présentait aux visiteurs de grandes plaques de marbre blanchâtre portant les noms des enseignants et élèves du lycée morts pour la France. Il donnait accès à deux vastes cours d’internat recouvertes de macadam, séparées par un préau médian et cernées par des murailles de grès rouge partiellement crépies, hautes de deux à trois étages. Extrait 2 :En hiver, si dans les rues de Rodez l'on pouvait entendre "Chauds les marrons !", dans notre vieux bahut ruthénois on entendait plutôt "Chauds les charbons !" En effet, point de chauffage moderne, alors qualifié de central, mais un chauffage par poêles à charbon installés dans les salles de classes et d'études. Les dortoirs et leurs lavabos annexes n'étaient point chauffés, exception faite de celui des petits sixièmes chauffé par les cuisines sous-jacentes! Et pourtant, les hivers étaient rudes là-haut sur la butte ruthénoise !   
Du même auteur
Haut de page
Copyright 2025 Cufay. Tous droits réservés.