Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Un dimanche matin
Des Equateurs - EAN : 9782849906095
Édition papier
EAN : 9782849906095
Paru le : 20 mars 2019
19,00 €
18,01 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782849906095
- Réf. éditeur : 016012
- Collection : LITTERATURE
- Editeur : Des Equateurs
- Date Parution : 20 mars 2019
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 220
- Format : H:205 mm L:141 mm E:19 mm
- Poids : 266gr
- Résumé : Un dimanche matin au lendemain du mariage de Pierre, la mort de lady Di fait un sujet tout trouvé pour les invités groggys de champagne et de Claude François. Un dimanche matin, sept ans plus tard, Pierre assassine son épouse avant de dissimuler le corps dans un sac à gravats. Il accompagne ensuite ses beaux-parents affolés à la recherche de la jeune femme, mais sera rapidement confondu. Johanne apprend la nouvelle par sa tante Dominique, mère du meurtrier. Tout de suite la famille fait bloc. Ses membres forment « une chaîne d'information en continu », sommée de comprendre, de chercher des excuses. La victime passe au second plan. « Fabriquer du sens à l'inconcevable devint un réflexe de survie ». Ne pas laisser tomber Pierre, un leitmotiv. Pendant plusieurs années, audiences et visites au parloir ponctuent la vie de Johanne et des siens. Le chagrin, inavouable, est refoulé autant que la monstruosité du crime. L'histoire de ce parent timide et dévoué, si heureux d'avoir rencontré une femme sublime, s'insinue dans les alcôves, pervertit les relations et renvoie chacun à sa propre violence. Le quotidien de tous s'en trouve transfiguré. Ce n'est que treize ans plus tard que Johanne Rigoulot ose s'attaquer à la vérité des faits. L'enchaînement à la fois irrationnel et implacable de l'homicide conjugal, la personnalité vacillante du meurtrier, le déni familial parce qu'il fallait d'abord faire « le deuil d'un monde où le bien et le mal étaient distincts et la vie tellement plus confortable. »