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Selection 7
Obcd - EAN : 9782952034371
Édition papier
EAN : 9782952034371
Paru le : 19 déc. 2025
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- EAN13 : 9782952034371
- Réf. éditeur : SELECTION 7
- Editeur : Obcd
- Date Parution : 19 déc. 2025
- Disponibilite : Pas encore paru
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 100
- Format : H:303 mm L:215 mm E:12 mm
- Poids : 764gr
- Résumé : Approché à la fin des années 70 par la firme Polaroid, Andreas Mahl fait partie de ces artistes à qui l'on a confié le soin de s'emparer du médium Polaroid pour lui faire quitter la sphère familiale des vacances et repas de familles, et investir la création en manipulant et détournant cette image instantanée qui se développait en quelques secondes sous les yeux ébahis.
- Biographie : Andreas Mahl fait, de 1964 à 1965, des études à l’École des Arts Libres de Stuttgart puis entre en apprentissage dans un studio de photographie de mode et de publicité. De 1968 à 1970, il étudie la photographie à l’université Folkwang, à Essen, où il a comme professeur Otto Steinert[gm 1]. En 1969, il choisit, dans le cadre de ses études, de venir à Paris pour réaliser un reportage sur le cimetière du Père-Lachaise. En 1970, il part à Londres où il rencontre Florette et Jacques Henri Lartigue qu’il photographie et avec qui il gardera une longue et profonde amitié. En 1972, il s’installe à Paris et réalise une série sur « La destruction des Halles ». Il commence à travailler comme photographe free-lance puis entre à l’agence Sipa Press, pour y faire des reportages de mode et de spectacles. Parallèlement, il poursuit ses travaux personnels qu'il expose, pour la première fois à Paris, à la Galerie 2C-2A. Andreas Mahl tire lui-même toutes ses images et, en 1976, avec une peinture utilisée pour la retouche des diapositives ("Pélikan"), il commence à colorier et peindre certaines de ses images, ce qui donne la série sur les cimetières parisiens qui sera exposée de nombreuses fois, de 1977 à 1982, à Paris, Rome, New York et Stuttgart sous divers titres : Les couleurs du souvenir[1], The path of glory, Les couleurs du silence … Michel Nuridsany, critique d'art, qui rend compte de l’exposition, le surnomme « l'Ange du Bizarre ». Certaines images sont alors acquises par la Bibliothèque nationale de France. D’autres, plus tard, rejoindront le Centre Georges-Pompidou[2] et la Maison européenne de la photographie (MEP). En 1977, il prend ses premières photographies instantanées avec un Polaroid SX70. Dès l’année suivante, il commence à modifier ses Polaroids, en retardant le développement, réchauffant l’émulsion, gravant, décollant puis transférant l’image…De 1970 à 1985, il réalise de nombreux portraits (Andy Warhol, François Truffaut, Jean-Claude Brialy, Carole Bouquet, Delphine Seyrig, Sami Frey, Melina Mercouri…). Parallèlement, il manipule aussi ses images noir et blanc, en intercalant des trames ou du plastique au tirage, puis, plus tard, en les découpant et les tressant … : ainsi naîtront les séries Photogrammes et Tressages. En 1980, à la demande d’Alfredo Arias, il réalise ses premières affiches de théâtre et, en 1981, il rencontre Delphine Seyrig et Sami Frey pour qui il réalise l’affiche de La Bête dans la jungle, qui donnera naissance à une série de portraits Polaroids « retravaillés »[3]. En 1989, Andreas Mahl commence à travailler avec l'unique exemplaire en Europe de la grande chambre Polaroid 50 × 60 avec laquelle il réalise des natures mortes, des nus, une série sur les jumeaux[7], une autre série sur des poupées de collection (1990) [gm 2], puis des portraits de stars à l’occasion du Festival de Cannes (1991). En 1993, Jean-Luc Monterosso organise une rétrospective de ses vingt années à Paris, à l’Espace photographique de la Ville de Paris.