Poèmes insurgés

Du Net - EAN : 9782312156200
Isaac Kyungu Banza Lesa
Édition papier

EAN : 9782312156200

Paru le : 18 oct. 2025

14,00 € 13,27 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782312156200
  • Editeur : Du Net
  • Date Parution : 18 oct. 2025
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 128
  • Format : H:120 mm L:190 mm E:10 mm
  • Poids : 128gr
  • Résumé : Les femmes de Goma, Bunia, Masisi, Sake, Minova, Rutshuru… sont tuées et violées. Les miens tombent, leur vie rendue vile, considérée comme un dommage collatéral. Est-ce là une atrocité qui ne concerne que les Congolais ? Que les Africains ? Ou bien chaque individu doté d’une conscience ? Ce recueil est le chant profond et déchirant de la terre. C’est la voix du soldat, du médecin, de l’enseignant, de l’homme, de la femme, de l’enfant confrontés à l’histoire d’un continent. Des rivières de richesses taries de l’Afrique-Mère aux femmes de l’Est de la RDC meurtries dont les corps portent les stigmates d’une guerre sans fin, Poèmes insurgés est le cri de ce qui subsiste et résiste quand tout a été ravagé. Il y a la mémoire de Lumumba, la rage des trahisons contemporaines, et le refus obstiné de fléchir devant les maîtres d’hier et d’aujourd’hui, qu’ils soient des puissances coloniales passées ou des acteurs néocoloniaux actuels. Face à la realpolitik, à l’indifférence de l’ONU et au silence de la communauté internationale, face à l’ingérence du pays par les dirigeants élus (ou pas), face à la complicité inhumaine de ceux qui se croient maîtres et qui, par leur silence ou leur action, perpétuent, de façon inhumaine, l’injustice et la souffrance, le poète choisit l’arme la plus noble et la plus dangereuse : le mot. C’est une insurrection du langage qui exige la vérité nue pour secouer les consciences et obliger à regarder en face la réalité brutale. Car ce langage est le prélude à l’action.
Haut de page
Copyright 2025 Cufay. Tous droits réservés.