Périlleuse randonnée

EAN : 9782808309264
BRAUN PHILIPPE
Édition papier

EAN : 9782808309264

Paru le : 16 juin 2020

18,00 € 17,06 €
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  • EAN13 : 9782808309264
  • Date Parution : 16 juin 2020
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 294
  • Format : H:18.7 mm L:210 mm E:148 mm
  • Poids : 390gr
  • Interdit de retour : Retour interdit
  • Résumé : Les hasards de la vie nous poussent parfois à nous dépasser. Combien de gens n’ont pas décidé, sur un coup de tête, de réaliser un exploit dont ils ne se seraient jamais crus capables ? C’est le cas de Julien. Il va entreprendre quelque chose d’inouï pour un simple employé, aucunement sportif, et absolument pas préparé aux épreuves qu’il va vivre. Mais les dangers qu’il craint dans cette aventure ne sont peut-être pas là où il les attend. Des vies pleines de passions, de bonheurs, mais aussi de rancunes et de haine vont s'entremêler pour le plus grand plaisir de ceux qui aiment ressentir les frissons des âmes humaines. Le récit se déroule principalement dans les parcs américains de Yellowstone et Grand Téton. Dans cette belle nature sauvage, les animaux sont prépondérants et marquent l'histoire de leur présence, en tant qu'acteurs.
  • Biographie : Ma première émotion littéraire, je l’ai eue en quatrième ou cinquième primaire, équivalent du CM1 et CM2 en France. Nous devions lire dans notre manuel de français un extrait de livre qui racontait le réveil d’un enfant dans sa ferme familiale. Il avait bon de rester au chaud dans son lit en écoutant les bruits familiers de la maisonnée. Sa maman allait chercher de l’eau dans la cour. Il le savait car il entendait le son du seau en zinc heurtant la margelle du puits, puis le bruit de la chaîne qui servait à descendre et remonter le seau. Une émotion intense m’envahit. J’avais une boule dans la gorge et des larmes aux coins des yeux. Cet extrait avait éveillé en moi des souvenirs de jeunesse. Quand nous étions petits, mon frère aîné et moi, nos parents n’étaient pas riches. Nous vivions dans un appartement de plain-pied et dormions tous dans la même chambre. Mon père écrivait ses romans policier le soir quand nous étions au lit, Maman et nous. Sur sa vieille Remington mécanique il enchaînait les meurtres et les enquêtes. Comme le salon où il travaillait était contigu à notre chambre et que les portes étaient vitrées, il travaillait sous une couverture pour que la lumière de sa lampe de bureau ne nous empêche pas de dormir. Les tic tic de sa machine nous berçaient et nous endormaient. Mais le parallèle le plus fort avec l’extrait de livre que nous avions lu à l’école c’était quand, le matin, nous écoutions à moitié endormis dans notre lit notre maman qui secouait avec le tisonnier la grille du poêle à charbon pour le ranimer. Puis elle posait la bouilloire sur la taque du feu pour chauffer l’eau que nous utiliserions plus tard pour nous laver. Dès que la bouilloire se mettait à chanter nous savions qu’il était l’heure de nous lever pour aller à l’école. Mon envie d’écrire pour susciter des émotions similaires auprès de mes lecteurs est née à ce moment-là. Il aura fallu attendre une cinquantaine d’année pour qu’elle se concrétise mais la passion est toujours intacte.
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