Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Partie carrée - Jean et Jeannette
Champion - EAN : 9782745325884
Édition papier
EAN : 9782745325884
Paru le : 26 mars 2014
120,00 €
113,74 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782745325884
- Réf. éditeur : 07532588
- Collection : TLMC
- Editeur : Champion
- Date Parution : 26 mars 2014
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 504
- Format : H:30 mm L:220 mm E:150 mm
- Poids : 720gr
- Résumé : Publié en 1848 sous le titre Les Deux étoiles, le roman de Gautier plus connu sous le titre Partie carrée, utilise les ressorts des sous-genres romanesques en l’honneur au XIXe siècle, depuis le roman d’aventures jusqu’au roman exotique et maritime en passant par le roman frénétique ou le roman historique puisque les nombreuses péripéties se déroulent sur fond de légende napoléonienne. Roman de 1848, qui veut échapper à 1848, année tourmentée, Partie carrée se moque de tout sentimentalisme. L’esthétique des contrastes y fait surgir, face à une Londres brumeuse, rigide et glaciale, une Inde flamboyante, extrême d’un Orient souvent rêvé par Gautier. Filant la veine de la nostalgie, Jean et Jeannette, écrit deux ans plus tard, recrée les grâces d’un XVIIIe siècle finissant où l’art de vivre se cultive aussi bien dans l’aristocratie que dans le demi-monde, où Boucher continue Watteau et où Marivaux donne sa vivacité acide aux dialogues. Gautier, comme son ami Houssaye, ouvre ici la voie aux Goncourt. Par-delà leurs différences, l’un cultivant une violence et une « barbarie » indices de pureté et chères à Gautier comme à Mérimée, l’autre retrouvant l’élégance d’un monde galant évanoui, ces deux romans, où le souci esthétique est toujours présent, se rejoignent par leur aisance souveraine ; leur vivacité et l’humour toujours en filigrane témoignent de l’art du romancier.


















