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Odeurs de labour suivi de Décollages
Petit Vehicule - EAN : 9782371455610
Édition papier
EAN : 9782371455610
Paru le : 1 févr. 2017
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- EAN13 : 9782371455610
- Réf. éditeur : 72
- Collection : L'OR DU TEMPS
- Editeur : Petit Vehicule
- Date Parution : 1 févr. 2017
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 60
- Format : H:214 mm L:219 mm E:4 mm
- Poids : 50gr
- Interdit de retour : Retour interdit
-
Résumé :
“Odeurs de labour” est une terre de sensations fortes, leurs histoires calmes et mouvementées tout à la fois traversent le poème et la vie de la poète. Elle connait le pain des solitudes. Là, dans ses jachères étoilées elle écrit son poème-défi, son poème-dépit, son poème-répit. Au fond, la poésie de Nicole Lanza est une musique des incertitudes comme un chagrin maîtrisé. J’ai oublié les loups cachés sans les ailes de l’âme (très beau trait phrasé) écrit-elle. Pour mieux saisir l’énigme et la clarté des mots qui jaillissent dans son livre comme des geysers-source de rêves.
Luc Vidal ( extrait de la préface) -
Biographie :
Nicole Lanza : Lorsque j’eus terminé la lecture de Passionnaire je me posai là, habité d’un réel émerveillement, mais surtout frappé par le talent poétique que j’y discernais, et qui éclatait comme cela, par à-coups, en éclats inattendus. Que signifiait ce mot, Passionnaire, ici balloté entre ce que je croyais savoir de la dimension liturgique du terme et ce que je devinais de la présence d’une fleur. Je compris, à la lecture, qu’il s’agissait de l’avènement d’une passion, certainement entre deux poètes, fugace, violente, et nouée, enlacée entre la mort et la poésie. Au creux des « Chants Funèbres » et de la « Nébuleuse Obscure » entre le mystère d’un éloge de la mort et celui d’un éloge de la poésie se vivait une écriture à deux voix, au-delà du dialogue, une manière d’échange intemporel, une parole partagée d’amour et de passion comme une « Chevelure de l’Orage ». Il me semblait que tout amour, toute passion, toute rencontre trouvaient bien leur place entre ce que je percevais comme la finitude de l’être humain et l’énigme de l’énonciation poétique... (a propos du chant des aubes)
Luc Vidal est né à Nantes un 6 juin 1950. Scolarité à l’école des Batignolles. Études au lycée Clémenceau. La Cité d’Orphée des années 60 avait encore le parfum du poème de René Guy Cadou. Les chansons de Léo Ferré, Jean Ferrat et Jacques Brel lui donnent le goût des poètes. Il apprend le métier d’instituteur à l’école normale de Savenay. Fait une licence d’histoire à l’université de Nantes. Premiers débats sur la poésie et l’esprit de révolte. Villon, Rabelais, Baudelaire, Gérard de Nerval, Balzac, Rimbaud, Verlaine, Zola, Aragon, Romain Rolland, Marcel Proust, Romain Rolland, Martin du Gard,Jules Romain, Robert Desnos, Herman Hess, Robert Musil et Guillaume Apollinaire sont ses compagnons de route et de lecture. La mort d’un camarade, Jean Yves Tralli dans un accident de voiture, en 70 lors d’un voyage sur la côte Atlantique lui fait écrire un premier poème de la souvenance.
Il crée une petite maison d’édition associative dans les années 80, les Éditions du Petit Véhicule, histoire de penser l’éducation populaire pour toutes et tous vers le haut du pavé. Il a animé la revue Signes, devenue la revue Incognita, Les Cahiers d’études Léo Ferré, Les Cahiers Jules Paressant et la revue Chiendents créée avec Roger Wallet et Stéphane Beau.
Ajoutons les Sentinelles de la Nuit. Les rencontres avec Pierre Seghers, Norge, Marie-Claire Dumas et Georges Fargeas le fortifient dans sa ligne éditoriale.
Aujourd’hui, en 2019, vogue la galère avec les vents des révoltes pacifiques et des tendresses efficaces avec quelques ami(e)s, rameurs infatigables.
Sa rencontre avec Joëlle Guatelli-Tedeschi à Grenade et ses groupes d'étudiant(e)s à l'université de Grenade a permis la trad