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Mozart et Salieri, une scène de Faust
Triartis - EAN : 9782490198436
Édition papier
EAN : 9782490198436
Paru le : 13 avr. 2023
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- EAN13 : 9782490198436
- Collection : SUR LA SCENE
- Editeur : Triartis
- Date Parution : 13 avr. 2023
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 50
- Format : H:180 mm L:110 mm E:4 mm
- Poids : 50gr
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Résumé :
Scène 1
Soliloque de Salieri expliquant qu'enfant, touché par une musique, il décide de se consacrer à l'art, le travail qu'il a fourni pour apprendre les différentes techniques de la musique, puis les premières créations, la gloire méritée, et enfin sa jalousie face au génie « d'un viveur, d'un oisif… ô Mozart ».
Arrive Mozart avec un aveugle, il lui fait chanter l'air « Voi che sapete » extrait de l'opéra Les Noces de Figaro. Salieri chasse l'aveugle mais retient Mozart, qui il lui présente « deux, trois idées, le fruit d'une insomnie ».
Salieri lit la musique (« Quelle harmonie et quelle profondeur ! C'est hardi, c'est d'un Dieu ») et invite Mozart à déjeuner.
Monologue de Salieri : il envisage d’empoisonner Mozart.
Scène 2
Mozart et Salieri sont à table. Mozart lui fait part d'une chose étrange : une personne masquée et vêtue de noir lui a commandé un Requiem. Quand Mozart lui fait une démonstration de cette œuvre en la lui jouant sur le clavier, Salieri verse du poison dans le verre de Mozart, qui le boit. Mozart quitte la table, il a un malaise.
Mozart et Salieri (en russe : Моцарт и Сальери ; en orthographe précédant la réforme de 1917-1918 : Моцартъ и Сальери) est une courte pièce de théâtre en un acte de deux scènes d’Alexandre Pouchkine écrite en 1830. Le thème est né d'une légende apparue à l'époque romantique : la jalousie puis l’empoisonnement de Wolfgang Amadeus Mozart par Antonio Salieri.
La pièce ne fut jouée que deux fois lors du vivant de son auteur, au théâtre Bolchoï de Pétersbourg. Elle fut éditée dans l'almanach Les Fleurs du Nord en 1832 en mémoire d'Anton Delvig1. -
Biographie :
Olga Medvedkova, née Jarkho le 13 février 1963, est une historienne de l’art et écrivaine française. Elle est directrice de recherche au CNRS, spécialiste en histoire de l'architecture de la tradition classique (XVe – XVIIIe siècle), de l'art russe, ainsi que de la méthodologie de l'histoire culturelle.
Biographie
Famille et jeunesse
Née dans une famille de l’intelligentsia moscovite, fille du juriste Anatolij Jarkho et de la professeure de géométrie descriptive Elena Medvedkova, dont elle utilise le nom, Olga Medvedkova fréquente l’école française à Moscou, puis fait ses études à l’université Lomonossov (1980-1985), à la faculté d’histoire, section histoire de l’art. Elle travaille à l’Institut d’histoire de l’art, avant de quitter la Russie en 1991.
Formation
En France, elle s’inscrit en thèse à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS), sous la direction de Jacques Revel, et travaille comme critique d’art pour La Pensée russe. Elle enseigne l’histoire de l’art aux Ateliers de Sèvres et à l’université Paris-IV. En 2000, elle soutient à l’EHESS sa thèse de doctorat (« L’architecture française en Russie au XVIIIe siècle »1). De 2002 à 2006, elle fait partie des premiers pensionnaires de l’Institut national d'histoire de l'art. En 2006, elle soutient à l’université Paris-IV, sous la direction de Claude Mignot, sa thèse d’habilitation à diriger les recherches (« Architectures imprimées. La Circulation des modèles d’architecture dans l’Europe du XVIIe et du XVIIIe siècles »2).
En 2006, elle obtient le premier prix Marianne-Roland-Michel pour son ouvrage Jean-Baptiste-Alexandre Le Blond, architecte. De Paris à Saint-Pétersbourg3.
Parcours universitaire et activités littéraires
Elle entre au CNRS (centre André-Chastel) en 20084. De 2013 à 2021 elle est rattachée au centre Jean-Pépin (CNRS-ENS), où elle se consacre davantage aux problèmes théoriques et épistémologiques.
De 2019 à 2022, elle est membre de la commission Arts du Centre national du livre.[réf. nécessaire]
Depuis 2013, elle publie des œuvres littéraires5 et poursuit parallèlement deux activités, la recherche6 et l’écriture7. En 2014, son roman L’Éducation soviétique obtient le prix Révélation8 de la Société des gens de lettres.
En 2017, le prix Lequeux de l'Institut de France lui est décerné sur proposition de l'Académie des inscriptions et belles-lettres9.
Elle est également l'une des autrices du site Desk Russie10.
Depuis 2022, elle enseigne à l'université de la Sorbonne (séminaire de Master 2 Recherche en histoire de l'art, architecture moderne) et fait partie de l'école doctorale ED 124.[réf. nécessaire]
Vie privée
Elle est mariée avec l'historien de l'art Philippe Malgouyres.
Publications
Ses ouvrages sont traduits en allemand, en anglais, en bulgare, en espagnol, en japonais, en italien et en russe.