Mines de rien ou les grandes mystifications du demi-siècle

Deterna - EAN : 9782913044562
COUSTEAU/REBATET
Édition papier

EAN : 9782913044562

Paru le : 1 janv. 2008

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  • EAN13 : 9782913044562
  • Réf. éditeur : MINES
  • Editeur : Deterna
  • Date Parution : 1 janv. 2008
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 150
  • Format : H:210 mm L:148 mm E:8 mm
  • Poids : 110gr
  • Interdit de retour : Retour interdit
  • Résumé : Préface de Lucien Rebatet, postface de Louis Védrines.
    Il y a des mystifications qui aboutissent à des apothéoses, dans les hymnes, les drapeaux, les processions, les défilés, les discours, etc. : c’est le gouvernement du peuple par le peuple, la déclaration des Droits de l’homme et du citoyen, la prise de la Bastille, la construction du socialisme, la société des Nations, l’ONU, la fourragère rouge à l’épaule des agents de police parisiens. Il y a d’autres mystifications, apparemment de même nature, assises sur le même ressort, qui est la crédulité humaine, mais dont les auteurs ont révélé les ficelles, après de réjouissants succès. On les appelle des plaisanteries, et on les juge spirituelles ou odieuses selon que l’on en a été ou non la victime.
    C’est de ces « plaisanteries » que Pierre-Antoine Cousteau, nous entretient ici…
  • Biographie : D’abord homme « à l’extrême gauche de l’extrême gauche », Pierre-Antoine Cousteau (1906-1958), est un polémiste et un journaliste qui évoluera peu à peu vers le fascisme…
    Il collabore ensuite au journal Je suis partout avec Lucien Rebatet et Robert Brasillach, puis dirige le journal, succédant à ce dernier.
    C’est un « ultra de la Collaboration » jusqu’à la fin de la guerre, participant alors à des expéditions contre les maquis) ; sa conviction était que l’Allemagne représentait à l’époque, « malgré tous ses crimes, la dernière chance de l’homme blanc »…
    Le quotidien Le Monde rendra compte de sa mort, en 1958, en ces termes : « Fidèle à son passé, à ses idées et à ses amis, Pierre-Antoine Cousteau n’avait rien perdu de son talent de polémiste »
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