Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Michel Sauer : erzählen (raconter)
Snoeck - EAN : 9783864424090
Édition papier
EAN : 9783864424090
Paru le : 11 juil. 2023
58,00 €
54,98 €
Bientôt disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Manquant provisoirement
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9783864424090
- Réf. éditeur : 978386442409
- Editeur : Snoeck
- Date Parution : 11 juil. 2023
- Disponibilite : Provisoirement non disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 256
- Format : H:280 mm L:230 mm E:25 mm
- Poids : 1kg
- Résumé : « Les choses et les images racontent chacune sous une forme propre. D’abord dans un langage de vision qui touche la raison et les sens pour s’y ramifier. Un lien apparaît qui englobe ce que l’observation invente. Alors que le présent et le souvenir reflètent l’inexplicable en apparence, une représentation de la perception individuelle apparaît. Sans cesse, un récit continue de grossir, nourri de petites particularités visuelles et d’observations excessives. » C’est ce qu’écrit Michel Sauer lui-même à propos de son travail. L’artiste, né en 1949, a étudié à Karlsruhe auprès de Horst Antes et d’Emil Schumacher, il a reçu le prix Junger Westen en 1972, a obtenu une bourse de la Villa Massimo en 1980, a reçu le prix Villa Romana en 1994 et a ensuite enseigné de 1994 à 2014 à l’université de Siegen. Le présent ouvrage offre un aperçu de sa création des années 1970 à 2022. C’est, d’après l’éditrice Eva Schmidt, le travail plastique qui y intéresse avant tout l’artiste. Michel Sauer aurait toujours considéré ce dernier comme une perception abstrayante d’une combinaison d’improvisation et de travail artisanal avec les matériaux bois, zinc, cuivre et laiton. Ce qui aurait stimulé sa recherche de l’unité des images de représentation et de souvenir – une unité réalisée dans l’interaction médiale de la poésie et de sa « matérialisation » toujours possible.