Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Mémoires de guerre 1942-1943
Deterna - EAN : 9782360061624
Édition papier
EAN : 9782360061624
Paru le : 10 nov. 2022
25,00 €
23,70 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782360061624
- Réf. éditeur : MEMOIRES
- Editeur : Deterna
- Date Parution : 10 nov. 2022
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 206
- Format : H:210 mm L:148 mm
- Poids : 160gr
- Interdit de retour : Retour interdit
-
Résumé :
Introduction de Bernard Plouvier
Ces Mémoires très partiels, mais qui apportent nombre de précisions sur des faits et des personnes, furent probablement rédigés en septembre-octobre 1943, grâce à des notes écrites par le Duce déchu lors de sa captivité, soit du 25 juillet au 12 septembre.
Manifestement, la composition de ce livre est antérieure au Congrès de Vérone des 14 et 15 novembre 1943, où est refondé le Parti Fasciste et créée la République Sociale Italienne.
Benito Mussolini fait débuter ses souvenirs, rédigés de façon sobre, mais nullement détachée – à l’opposé de ce qu’ont écrit divers historiens –, aux premiers signes de sa maladie de 1942-43, évitant de dire qu’il a, de ce fait, totalement décroché de la direction de l’État, sans désigner sinon un successeur, du moins un curateur, et que c’est de la vacance du Pouvoir que date la désillusion du peuple italien qui n’est plus emporté par l’enthousiasme de son chef civil et militaire – c’est la double composante du titre de Duce.
Ce livre est un témoignage capital sur la fin du Fascisme monarchique, si l’on préfère sur les derniers mois de la diarchie qui a officiellement dirigé l’Italie d’octobre 1922 au 25 juillet 1943 et qu’il faut beaucoup de naïveté pour considérer qu’elle fut ce qu’en écrivent les grands historiens !
Mussolini qui a dynamisé la Nation italienne, la faisant entrer dans les cadences de travail du XXe siècle, qui a bouleversé l’Économie, lancé une politique d’infrastructures faisant sauter l’Italie dans le monde moderne, démocratisé l’accès à l’enseignement supérieur et aux sports, qui a décuplé l’étendue de l’Empire colonial – ce qui a fait disparaître l’esclavage d’Éthiopie –, a commis une faute absurde en juin 1940 : il est entré en guerre avec une armée tout juste bonne à briller en Afrique arriérée. Il a ainsi détruit son œuvre et fait inutilement souffrir une nation qui n’était (très) belliqueuse qu’en paroles et en enthousiasme dominical.