Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Marius Lüscher : Untitled Paintings
Snoeck - EAN : 9783864424670
Édition papier
EAN : 9783864424670
Paru le : 13 janv. 2026
39,80 €
37,73 €
Bientôt disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
A paraître 13 janv. 2026
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9783864424670
- Editeur : Snoeck
- Date Parution : 13 janv. 2026
- Disponibilite : Pas encore paru
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 112
- Format : H:300 mm L:240 mm E:20 mm
- Poids : 917gr
- Résumé : C’est à un « ordre singulier ne faisant appel à aucune connaissance préalable » que les tableaux abstraits de Marius Lüscher prétendent, selon les mots de Dieter Schwarz, l’ancien directeur du Musée des beaux-arts de Winterthour dans l’essai qui les accompagne. Avec leur format vertical de 160 à 220 cm de haut, les tableaux refusent toute impression paysagère, tout comme ils évitent toute allusion à la figure humaine à laquelle ce format est traditionnellement réservé. « Aucune division intérieure de la surface ne rappelle l’anatomie, les formes utilisées ne sont pas non plus groupées en ensembles qui invitent à retrouver quelque chose de corporel. Même la métaphore des constructions architecturales ne s’applique pas. » Au contraire, l’identité de la surface peinte et de la surface du tableau se dissout, les formes se détachent sur un fond blanc neutre avec lequel elles dialoguent – la transparence remplace l’opulence. » La peinture de Marius Lüscher se constitue depuis 2010 à partir des possibilités qui en naissent et expriment, non la stabilité, mais une variable. Le peintre lui-même désigne ce travail, dans le contexte de l’abstraction historique de l’après-guerre, comme une « abstraction d’abstraction », car il ne cherche pas, comme par exemple Roy Lichtenstein, à reproduire la peinture abstraite sous forme de fiction historique, il tente au contraire de rester du côté de la peinture non-figurative et de l’historiser, de la tenir en vie sous forme de possibilité de travail réelle. »