Mais qui est la mère ? Porter l'enfant des autres

Arenes - EAN : 9782352046820
Catherine Mallaval,Mathieu Nocent
Édition papier

EAN : 9782352046820

Paru le : 18 oct. 2017

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  • EAN13 : 9782352046820
  • Réf. éditeur : 946207
  • Editeur : Arenes
  • Date Parution : 18 oct. 2017
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 291
  • Format : H:224 mm L:148 mm E:28 mm
  • Poids : 420gr
  • Résumé :

    Aujourd'hui, ces foyers peuvent accueillir leur bébé conçu avec leur sperme ou leurs ovocytes implantés dans l'utérus d'une tierce personne, souvent étrangère et inconnue. Avec le mariage pour tous et la raréfaction de l'adoption, cette pratique est appelée à exploser.

    La GPA (gestation pour autrui) est interdite en France. Pourtant, en 2011, le pays comptait déjà 200 enfants, nés hors été civil et livret de famille, contre 120 en 2007.

    Enquête sur une question inédite pour l'humanité : MAIS QUI EST LA MÈRE ?

    UN DÉBAT DE CIVILISATION TOTALEMENT INÉDIT
    MAIS QUI EST LA MERE détaille cette pratique encore méconnue et ses enjeux, objet de débats homériques, soulevant des questions inédites dans l'histoire de l'Homme. Qui est la mère ? Quels sont les liens entre les uns et les autres ? L'enfant doit-il connaître sa génitrice ? Faut-il rendre obligatoire le maintien d'un contact entre eux ? Quels sont les risques pour le bébé ? Pour la femme porteuse ? Faut-il payer celle-ci ? Seulement la défrayer ? Qu'en est-il de la donatrice d'ovocytes ? L'enfant a-t-il un prix ? Ces femmes sont-elles exploitées ? Le droit international va-t-il supplanter les droits nationaux ? Six scientifiques (médecins, juristes, psychologues) aux opinions divergentes ont accepté de confronter leurs positions pro ou anti et d'alimenter un débat dépassionné et éclairé.

    RÉINVENTER LA CELLULE FAMILIALE
    Des femmes traitées pour le cancer n'ont plus utérus ni ovocytes. Une gestatrice et une donneuse d'ovocytes leur offriront un enfant. Des gays désirent un ou deux enfants portés à l'autre bout du monde ou en France par une amie malgré l'interdiction. Les Anglaises disent le faire par altruisme. Les Américaines assument de le faire pour l'argent. MAIS QUI EST LA MÈRE ? rassemble leurs témoignages tissés d'espoirs, de joies, de déceptions et de douleurs. Celle de Virginie apprenant à 16 ans que sa mère ne l'a pas portée. Ou de Pattaramon, jeune Thaïlandaise, qui a porté les jumeaux d'Australiens refusant l'un des deux, trisomique. Dans un monde où tout est possible et où tout s'achète, l'homme réinvente littéralement la cellule familiale.

    UN TOURISME DE LA PROCRÉATION
    Pratique universelle, la GPA varie selon les pays. Commerciale et assumée comme telle aux Etats-Unis ou en Russie, présentée comme altruiste en Grèce et en Angleterre, vendue en séjours all inclusive en Ukraine ou au Mexique, strictement encadrée par l'Etat (Israël) ou laissée dans le flou (Belgique, Pays-Bas et Scandinavie), cette pratique engendre un véritable tourisme procréatif. Alors, la France doit-elle maintenir son interdiction pour éviter toutes les dérives ? Ou bien l'autoriser dans un cadre strictement éthique ? A minima, reconnaître les enfants nés ainsi à l'étranger ? 22 ans après son interdiction, la GPA va inévitablement revenir dans le débat public.

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