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MACHINE ARRIÈRE
Passe Du Vent - EAN : 9782845623019
Édition papier
EAN : 9782845623019
Paru le : 10 janv. 2017
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- EAN13 : 9782845623019
- Réf. éditeur : POESIE033
- Collection : POESIE
- Editeur : Passe Du Vent
- Date Parution : 10 janv. 2017
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 98
- Format : H:220 mm L:140 mm E:6 mm
- Poids : 148gr
-
Résumé :
Dans cette collection, tous les recueils ont la particularité d’être suivis d’un entretien en fin d’ouvrage entre l’auteur(e) et Thierry Renard, responsable littéraire des Éditions La passe du vent.
Dans Machine arrière, Samantha Barendson nous entraîne à ses côtés pour revivre avec elle les grandes ou petites étapes qui ont marqué sa vie.
Le recueil commence avec des poèmes à hauteur d’enfant, découvrant la magie mais aussi la violence de l’existence, les premiers flocons de neige, les premières hontes, et elle se poursuit à l’adolescence jusqu’à l’âge adulte qui la fera devenir poète.
Un recueil de poésie bouleversant de sincérité, écrit avec justesse et légèreté.
Une manière de journal intime poétique où l’auteure retrouve et développe quelques-uns des thèmes qui lui sont les plus chers...
« Dans ce livre, j’avais envie de voir si je pouvais donner la sensation d’une existence uniquement à partir de souvenirs. Chaque texte est donc une image, une photographie. »
J’avais 851 jours
quand tu es parti
Mon premier souvenir
c’est le vide
le rien
le noir
L’ENTRETIEN (extrait) :
Thierry Renard – Ma chère Samantha, les mots le plus souvent sont trompeurs. Et les genres se croisent régulièrement. Vous écrivez de la prose en poème et du poème en prose. Vous écrivez, en mêlant vers et plus longues phrases, mais toujours en gardant le même style, le même souffle et la même précision. Le même sens de la narration. Samantha, d’où écrivez-vous ? Comment, et pour qui écrivez-vous ?
Samantha Barendson – La poésie est pour moi une façon d'habiter le texte, que j'écrive un poème, un roman ou une pièce de théâtre, j'ai toujours le sentiment d'écrire de la poésie. Heureusement, vous ne m'avez pas demandé ce qu'était la poésie, je n'aurais su vous répondre, j'aurais pu seulement vous dire ce qu'elle n'est pas. Savoir d'où elle me vient est plus simple, j'aurais voulu être peintre ou musicienne mais je n'ai aucun talent avec un pinceau ou un violoncelle. Seule l'écriture m'a paru adaptée pour transmettre les images et la musique que je crée. J'ai découvert il y a peu que je n'écrivais pas seulement pour moi ou pour un potentiel lectorat, mais surtout pour témoigner, empêcher la mémoire de périr, laisser trace d'une humanité, de ce que nous avons pu être, sentir... je crois donc que j'écris depuis une forme de mélancolie.
Thierry Renard – Après le style, le goût, le goût des langues… Je vous connais avec plusieurs langues en poche, en bouche. Vous pouvez passer du français à l’italien, et de l’italien à l’espagnol, notamment. Vous vous exprimez en plusieurs langues. C’est un bonheur, c’est une chance ? Parlez-nous, aussi, de vos multiples appartenances… Pour moi, c’est la meilleure réponse aux maux de ce début de siècle.
Samantha Barendson – En effet, j'ai la chance d'avoir trois passeports, trois cultures à la fois proches et éloignées, trois langues. Et j'aime écrire dans ces trois langues même si cela me demande trois fo -
Biographie :
L’AUTEURE :
SAMANTHA BARENDSON est née en 1976 en Espagne, de père italien et de mère argentine, elle vit aujourd'hui à Lyon et travaille à l'École Normale Supérieure. Comme elle, ses textes voyagent d’une langue à une autre. Après avoir étudié la littérature hispano-américaine à l'Université Lumière Lyon 2, et plus particulièrement les nouvelles de Cortázar et l'absence de ponctuation dans L’automne du patriarche de Gabriel García Márquez, elle se consacre à la traduction puis à l'écriture. Auteur de poésie et de pièces de théâtre, elle aime surtout travailler avec d’autres poètes, peintres, illustrateurs, photographes, danseurs ou musiciens. Elle aime ensuite déclamer, crier, hurler ou chanter ses textes sur scène, un peu frustrée de n’être pas une chanteuse de tango. Elle fait partie du Collectif « Le syndicat des poètes qui vont mourir un jour » dont le principal objectif est de promouvoir la poésie pour tous et partout. Pour la période 2016-2018, Samantha a été sélectionnée par le Printemps des Poètes et dans le cadre du projet Versopolis pour partir en tournée dans plusieurs festivals européens.
Lectures & rencontres : www.samantha-barendson.com/pages/lectures-passees/
QUELQUES-UNES DE SES DERNIERES PUBLICATIONS :
Romans
– Mon citronnier, Éditions Jean-Claude Lattès, à paraître janvier 2017
Poésie
– Machine arrière, Éditions La passe du vent, 2017
– Le citronnier, Éditions Le pédalo ivre, 2014 ; Prix de poésie René Leynaud 2015
Anthologies
– Tango, Spectacle poétique, Éditions Macana, 2016
– Marlène Tissot & compagnie, Anthologie poétique, Mgv2-publishing, 2015
– Fertile, Anthologie sur la terre, Atelier du Hanneton, 2015
– Un printemps sans vie brûle, anthologie sur Pasolini, Éditions La passe du vent, 2015
Livres d'artiste
– Lumignons, avec André Jolivet, 2016
– Partir, avec Max Partezana, 2016
– San Telmo, avec Claude Marchat, 2015
– Froid, avec Jean-Gilles Badaire, 2015
Théâtre
– Silence de Plume, mise en scène Manuel Pons, L'eukaryote theatre, 2012
– À te regarder, ils s’habitueront, mise en scène Manuel Pons, Théâtre des Asphodèles, 2011
Ainsi que diverses publications dans des revues de poésie