LITTERATURE DU XXE SIECLE ET CHRISTIANISME

Beauchesne - EAN : 9782701012865
MOELLER CHARLES
Édition papier

EAN : 9782701012865

Paru le : 1 avr. 1993

47,00 € 44,55 €
Epuisé
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Manquant sans date
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782701012865
  • Réf. éditeur : 308599
  • Editeur : Beauchesne
  • Date Parution : 1 avr. 1993
  • Disponibilite : Manque sans date
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 318
  • Format : H:100 mm L:100 mm E:20 mm
  • Poids : 1.001kg
  • Interdit de retour : Retour interdit
  • Résumé : C’est à un voyage que nous convie Mgr Charles Moeller dans ce sixième tome de Littérature du XXè siècle et christianisme. Un ultime voyage : l’auteur est mort quelque temps après avoir terminé le manuscrit, sans avoir pu mener à bien son projet d’ajouter un septième tome à ce monument d’études à la fois littéraires et spirituelles. L’artisan aura fait faux bond à l’architecte ; il manquera toujours le faîte, mais ce manque n’altère pas pour autant la puissance, la richesse et la finesse de l’ensemble.

    Un voyage… Une « navigation quelque peu imprévisible », dit Charles Moeller, dans on avant-propos. Une balade empreinte de poésie et de sensibilité, à travers les œuvres de six auteurs de notre temps, le journal de bord d’un lecteur exceptionnel quis e plaît, pour la première fois, à emprunter, outre les voies traditionnelles de la littérature, les chemins de traverse du cinéma, ceux de Marguerite Duras dans Hirochima mon amour et de Ingmar Bergman dans Les communiants, Comme dans un miroir et Le silence.

    L’allure en apparence « vagabonde » de ces réflexions de lecture ne doit cependant pas faire penser à une errance. Le voyageur, ici, est un pèlerin et sa pérégrination se fait sous le vent de l’Esprit. Si Charles Moeller semble par moment musarder, ce n’est que le temps de cueillir les fraises sauvages du chemin, et il n’en oublie jamais le cap qui lui a été donné, la route qui doit le mener, nous mener, de m’amour à la communion, du doute à la quiétude, de la désespérance à la foi.

    Le titre même qu’il a choisi pour ce sixième tome, L’exil et le retour, rencontre cette métaphore du voyage et indique que les deux termes sont indissociablement liés. Les deux termes se croisent et renvoient l’un à l’autre. Le retour, l’aboutissement du voyage postule, dans notre condition d’hommes, l’exil. L’exil contient, pour qui veut le voir, le retour. De l’un à l’autre, il n’y a pas simple retournement, retour stérile au point de départ, mais accomplissement, dévoilement : la traversée devient alors traversée de lumière, cette lumière qui nous fait nous redécouvrir à nous-mêmes, qui éclaire les zones d’ombres du départ.

    C’est tout le sens de la démarche de Charles Moeller dans ce sixième tome de Littérature du XXè siècle et christianisme, de l’œuvre de Marguerite Duras à celle de Gertrude von le Fort.
Haut de page
Copyright 2025 Cufay. Tous droits réservés.