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Les Vestiges de Mari, la préservation d'une architecture de terre millénaire
EAN : 9782915456554
Paru le : 3 déc. 2009
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- EAN13 : 9782915456554
- Réf. éditeur : 827956
- Editeur : Villette
- Date Parution : 3 déc. 2009
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 174
- Format : H:276 mm L:200 mm E:15 mm
- Poids : 782gr
-
Résumé :
Les Vestiges de Mari, la préservation d'une architecture de terre millénaire,
Mahmoud Bendakir,
HC
Format :
200 pages, 90 illustrations
24 ?
ISBN : 978-2-915456-55-4
Office : oct-09
Implanté au coeur du delta mésopotamien qui fut vers Ve millénaire av. J.-C. le berceau de la culture sumérienne, Mari a été la troisième et dernière capitale précédée dans l'ordre par Uruk et surtout Babylone. Cette importante cité mésopotamienne est surtout connue pour son splendide palais royal découvert grâce aux excavations entreprises depuis 1933 par l'archéologue français André Parrot, reprises depuis par son collègue Jean-Claude Margueron.
L'ouvrage nous présente comment le site archéologique est constitué par trois villes successives. Les premières occupations remontent à la fin du IVe millénaire. La ville prend de l'importance au IIIe millénaire, mais cette période est mal connue car recouverte par les niveaux les plus récents. Au milieu du IIIe millénaire, période dite Mari II, la cité redevient une métropole importante. Détruite suite à une révolte, son urbanisme reste bien connu grâce à la découverte de plusieurs temples, d'un palais et de quelques habitations. Enfin, Mari III se caractérise principalement par deux vastes palais royaux dont le plus grand compte quelques 260 salles et cours sur un ensemble de 550 pièces, vraisemblablement.
Ces vestiges ont suscité l'émerveillement devant leur exceptionnelle ampleur et leur état de conservation, mais bientôt l'érosion a repris ses droits. Début 1970, après avoir dégagé un second complexe monumental, André Parrot expérimente l'installation d'une couverture protectrice. Certes, le palais n'était pas définitivement sauvé. Il fallait ensuite s'attaquer à la question de la conservation des briques de terre crue et à la lutte contre la remontée des eaux à certaines époques de l'année. L'auteur détaille cette recherche et la patiente lutte pour la conservation de cet extraordinaire complexe.
Mahmoud Bendakir, architecte, est chercheur associé au laboratoire CRATerre-Ecole nationale supérieure d'architecture Grenoble. Il est spécialiste dans la conservation des sites archéologiques et monuments historiques en terre. Il a soutenu sa thèse de doctorat à l'Ecole pratique des hautes études à la Sorbonne en 2000.
Liens avec d'autres ouvrages des Editions de la Villette :
Histoire d'architectures en Méditerranéé, XIXe et XXe siècles, Jean-Baptiste Minnaert (dir.)