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LES AILES DE LA GRANDE GUERRE
Cepadues - EAN : 9782364935532
Édition papier
EAN : 9782364935532
Paru le : 25 juin 2016
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- EAN13 : 9782364935532
- Réf. éditeur : 1553
- Editeur : Cepadues
- Date Parution : 25 juin 2016
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 42
- Format : H:300 mm L:400 mm E:3 mm
- Poids : 218gr
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Résumé :
En France, les militaires expérimentent les aéroplanes dès les Manœuvres de Picardie, fin 1910. Ils se rendent compte de l’utilité de « l’éclairage » par voie aérienne. Outre les ballons captifs d’observation, que tous les belligérants vont employer massivement, la « cinquième arme » va servir à identifier les intentions de l’adversaire, et à régler les tirs de l’artillerie.
Lors du déclenchement des hostilités, le bombardement aérien, que les stratèges pensent être l’apanage des dirigeables (seuls capables d’embarquer des cargaisons conséquentes sur de grandes distances – avec leurs Zeppelin, les Allemands inaugureront les raids de terreur sur les villes) s’exerce également, bien que timidement, avec des avions. Initialement menées par des appareils isolés embarquant de faibles charges, au fil de la Grande Guerre, ces missions verront des formations de plus en plus compactes de machines mieux motorisées porter la mort sur le front et l’arrière…
Le 5 octobre 1914, c’est à bord d’un Voisin que l’équipage Frantz et Quenault remporte la première victoire aérienne aux dépens d’un Aviatik. La spécialisation de l’aviation de chasse va s’affirmer durant la Bataille de Verdun, lorsque le général Pétain demande à l’Aéronautique militaire de « balayer le ciel des avions allemands ».
Sur mer aussi, les spécificités du combat naval vont conduire les hydravions, au départ de bases côtières voire de navires, à opérer pour le sauvetage, l’exploration et la protection de convois ou le bombardement et même la chasse.
La Première Guerre mondiale s’avère être un puissant accélérateur de progrès pour l’aviation. La paix revenue, elle sera prête à conquérir la planète !
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Biographie :
Jean Bellis se qualifie d’« illustrateur marine ».C’est en 1974 que le public découvre ses dessins de bateaux imaginaires inspirés de l'oeuvre de Jean Tur. Ses dessins feront dès lors l'objet de différentes expositions. Jean Bellis est aussi l'inventeur des maquettes des bateaux moules. Il a construit toute une série de maquettes de bateaux imaginaires qui lui ont valu le prix de l'originalité du concours de maquettes de bateaux lors des fêtes de Douarnenez 86, la décoration du Yacht Eleazar et la commande de cinq bateaux pour le musée de jersey en 1997.Passionné d’hydraviation cela l’amène au monde aéronautique, réunissant ainsi ses deux passions, la mer et le ciel.
Jean Molveau est sous l'emprise d'une passion pour l'aviation depuis sa prime enfance… Cela l'a conduit à pratiquer le pilotage d'un planeur et à exercer le métier de journaliste aéronautique, assurant aujourd'hui la rédaction en chef du bimestriel Vol à Voile (depuis 1990) et du mensuel Aviasport. Se qualifiant lui-même d'"historien refoulé", il est aussi féru de patrimoine aéronautique comme collectionneur et amateur d'histoire de l'aéronautique, domaine dans lequel il effectue des recherches et a publié divers ouvrages…