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LE SOLEIL ME TRACE LA ROUTE - CONVERSATIONS AVEC TIFFY MORGUE ET JEAN-YVES GAILLAC
Stock - EAN : 9782234063235
Édition papier
EAN : 9782234063235
Paru le : 17 févr. 2010
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- EAN13 : 9782234063235
- Réf. éditeur : 5463237
- Editeur : Stock
- Date Parution : 17 févr. 2010
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 250
- Format : 0.00 x 13.50 x 21.50 cm
- Poids : 430gr
- Interdit de retour : Retour interdit
-
Résumé :
À 42 ans, on n’écrit pas ses mémoires. Cela tombe bien, Le soleil me trace la route, le premier livre de Sandrine Bonnaire, est tout sauf un ouvrage de souvenirs et d’anecdotes sur le beau métier d’actrice.
Le soleil me trace la route a peut-être commencé à s’écrire naturellement il y a une vingtaine d’années, quand Sandrine Bonnaire rencontre le couple de journalistes Gaillac-Morgue pour un portrait destiné à paraître dans un magazine.
Une amitié va naître, une confiance s’installe d’année en année entre ces trois personnes et, comme elle le dit elle- même drôlement, « à mi-parcours », et après avoir abordé la réalisation de Elle s’appelle Sabine, le documentaire consacré à sa sœur, une envie est venue, soudaine, un besoin de profondeur.
Sous la forme d’une conversation très libre, où l’on oublie rapidement les questions pour n’entendre que les réponses, Sandrine Bonnaire, qui d’ordinaire ne s’épanche jamais sur papier glacé, se confie, s’abandonne, au risque de l’incorrection, en préservant sa pudeur et son sourire dans toutes les situations et dans tous les événements.
Le récit de son enfance en banlieue parisienne est un modèle du genre : famille nombreuse, mère et grand-mère fantasques, père ouvrier taiseux et adoré, tout ce petit monde, au bout de quelques pages, par la voix de Sandrine, devient le nôtre. Ainsi, quand elle aborde Pialat ou Sautet, Depardieu ou William Hurt, son premier mari, près de sa fille aînée, elle le fait avec le même ton, la même précision faussement désinvolte, l’air de rien, en donnant le sentiment et surtout la preuve de sa popularité, de son rejet des conventions et des codes intellectuels.
Plus de vingt-cinq ans de carrière pour cette jeune femme qui débutait dans À nos amours à 16 ans, qui envisage aujourd’hui le tournage de son premier film de fiction, une femme libre, sans concessions ni entraves, dont on aimerait suivre la voix et les pas jusqu’au bout de la route. - Biographie : Sandrine Bonnaire est révélée au public en 1983 par le film de Maurice Pialat, À nos amours. Elle a 16 ans et elle remporte le César du meilleur espoir féminin. Elle tournera de nouveau avec Pialat en 1987 dans Sous le soleil de Satan, récompensé par la Palme d’or au Festival de Cannes. À 19 ans, elle interprète une jeune marginale dans Sans toit ni loi d’Agnès Varda, ce qui lui vaut le César de la meilleure actrice. Elle tournera ensuite avec Patrice Leconte (Monsieur Hire), Jacques Doillon (La Puritaine), Jacques Rivette (Jeanne la Pucelle ou Secret Défense), André Téchiné (Les Innocents) ou encore Claude Chabrol (La Cérémonie).