Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Le prix du corps humain
L'Harmattan - EAN : 9782343198033
Édition papier
EAN : 9782343198033
Paru le : 1 mai 2020
45,50 €
43,13 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782343198033
- Collection : DROIT, SOCIETE
- Editeur : L'Harmattan
- Date Parution : 1 mai 2020
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 532
- Format : H:240 mm L:155 mm E:28 mm
- Poids : 812gr
- Résumé : Le Code civil frappe de nullité les conventions conférant une valeur patrimoniale au corps. Cette condamnation se retrouve dans le Code de la santé publique. Comment envisager un prix du corps humain ? Si les différents articles tentent de décourager une mise en circulation, à titre onéreux, du corps ou de ses éléments et produits, le principe de gratuité peut toutefois être discuté. Par ailleurs, si l'on se tourne vers le corps en activité, instrument au service de l'existence de la personne, les principes de non-patrimonialité ou de gratuité sont contrariés : plutôt que de tirer profit de son corps, l'individu en mobilise la force. Le corps devient une composante essentielle de l'activité rémunérée et finalement se découvre un prix.
- Biographie : Alicia Mâzouz est docteure en droit à l'Université Paris-I Panthéon-Sorbonne. Elle est maîtresse de conférences à la faculté de droit de l'Université catholique de Lille et dispense ses enseignements au sein du campus d'Issy-les-Moulineaux où elle dirige également la licence DCJ et la clinique du droit. Elle poursuit aujourd'hui ses activités de recherche au sein du C3RD et de l'IRJS (Université Paris-I Panthéon-Sorbonne).