Le manifeste de la surnégritude

EAN : 9782414263905
Cheikh Ahmed
Tidjane Sylla
Édition papier

EAN : 9782414263905

Paru le : 31 août 2021

14,50 € 13,74 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782414263905
  • Réf. éditeur : 932993
  • Date Parution : 31 août 2021
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 166
  • Format : H:204 mm L:134 mm E:13 mm
  • Poids : 200gr
  • Interdit de retour : Retour interdit
  • Résumé : Dans cet essai, l’auteur souhaite trouver une réponse objective à la question centrale qui fait l’ossature même de cette œuvre : si les Nègres sont à l’origine de la civilisation égyptienne, alors comment expliquer leur régression actuelle ?Cheikh Ahmed Tidjane SYLLA analyse tous les trous noirs de l’Histoire rendant impossible le dépassement des solutions de continuité qui excluait l’Égypte de la négritude.Les thèmes sont développés sur les révolutions dues à la misère, et l’autonomie dans la dépendance.Le sujet délicat de la Surnégritude est défini comme un besoin incontournable d’aller de l’avant.
  • Biographie : Cheikh Ahmed Tidjane SYLLA est né le 30 mai 1953 à Dakar. À 13 ans, après un séjour de sept ans en Guinée, pour fuir la « révolution », il demande à son père de revenir à Dakar, malgré la peine capitale encourue en cas de capture. Ils allaient alors passer des semaines dans la forêt, égarés et coupés du monde.À Dakar, il poursuit ses études jusqu’en terminal. Malgré un emploi, il prend clandestinement un navire qui le mène en Bulgarie.Il est arrêté, rapatrié et condamné à trois mois de prison avec sursis. Puis il se rend à Abidjan où il rencontre un jeune guinéen, réfugié politique, avec qui il va être lié par une amitié sincère. L’un marxiste et l’autre senghorien, leur discussion quasi quotidienne ne manquait d’être houleuse, chacun défendant ses idées. C’est durant ces discussions que son ami lui balance une phrase qui va complètement bouleverser sa manière d’appréhender le réel et aiguiser sa curiosité sur Karl Marx : « Tu connais Marx ? Enfin tu as raison, Senghor est le plus grand philosophe de tous les temps. Tu sais, pour les enfants, l’animal le plus féroce, c’est le chien ».
Haut de page
Copyright 2025 Cufay. Tous droits réservés.