Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
LE LABOUREUR ET LES MAGISTRATS TROISIEME PARTIE
La Bruyere - EAN : 9782750019518
Édition papier
EAN : 9782750019518
Paru le : 27 juin 2025
21,00 €
19,91 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782750019518
- Réf. éditeur : 561285
- Editeur : La Bruyere
- Date Parution : 27 juin 2025
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 284
- Format : H:215 mm L:135 mm E:21 mm
- Poids : 345gr
-
Résumé :
« Je reprends le registre de mon grand-père », ainsi faisons-nous la connaissance du nouvel Odet Soret. C’est le petit-fils de celui que nous connaissons, ce laboureur que le roi Henri IV anoblit pour sa fidélité et ses services. Il a légué son registre à son petit-fils qui, lui, n’est pas un laboureur mais un noble. Pendant plusieurs années celui-ci a reçu, à Rouen, chez les Jésuites et à l’Académie, une éducation poussée le rendant capable de mettre son épée au service du roi.
Ce petit-fils, troisième baron Soret, a jugé le moment venu de rouvrir le registre de son grand-père car le nouveau roi, le jeune Louis XIII, après la catastrophique période de la régence de sa mère, Anne d’Autriche, qui n’était pas une Catherine de Médicis, avait trouvé, pour le servir, un grand homme politique, le cardinal de Richelieu. Au cours de la journée des Dupes, les intrigants avaient été balayés et le Cardinal avait acquis, avec la confiance du roi, la toute-puissance dans le royaume.
« Il n’y a pas que La Rochelle », avait noté le premier Odet Soret à la fin de son registre. À ses yeux, la chute de cette ville rebelle n’avait donné au royaume ni l’unité ni la paix. Et il voyait trois grandes menaces pour le royaume : les révoltés huguenots, l’empereur et le roi d’Espagne.
Est-il possible d’échapper à la ruine de la chrétienté et à la guerre qui ruine l’Allemagne ? Nous allons le savoir.