Le compte à rebours

Publibook - EAN : 9782342368291

Serge Galès

Skip to the end of the images gallery

Skip to the beginning of the images gallery

Édition papier

EAN : 9782342368291

Paru le : 22 sept. 2023

16,00 € 15,17 €

Disponible

Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous

Notre engagement qualité

Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande
Manquants maintenus
en commande
automatiquement
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h

Détails

EAN13 : 9782342368291
Réf. éditeur : 7970276
Editeur : Publibook
Date Parution : 22 sept. 2023
Disponibilite : Disponible
Barème de remise : NS
Nombre de pages : 162
Format : H:210 mm L:148 mm E:9 mm
Poids : 220gr
Interdit de retour : Retour interdit

Résumé

Résumé : 31 janvier 1971 - 28 janvier 1972Avant le canon « CAESAR », utilisé durant la guerre en Ukraine, il y avait le 155 AMF3... Moi aussi, en l'an 1971, j'ai tiré des coups de canon, mais heureusement en temps de paix.Le service militaire revient dans l'actualité, sa renaissance partielle, sous le vocable de « service civique » est actée. J'ai entrepris de raconter l'année sous les drapeaux d'un jeune « Sudiste » qui, comme tant d'autres, a dû monter vers le Nord, c'était en 1971... Jour après jour, le journal du caporal artilleur Yves Jardel, classe 71-02, baby-boomer imprégné par les idées généreuses brièvement entrevues en mai 68, accompagne son laborieux compte à rebours jusqu'à « la quille »...« Il leur aurait fallu une bonne guerre »...Cette génération, une des premières n'ayant pas connu de conflit militaire a aggravé son cas en étant contemporaine des « événements » du printemps 1968. Nombre de membres de « la grande muette » voulaient rééduquer ces conscrits arborant trop souvent des cheveux longs.C'était en quelque sorte à la mode à l'époque pour un jeune de ne pas être attiré par l'univers militaire. Après douze mois de régiment j'ai découvert des raisons concrètes pour ne pas changer d'avis. De nombreux souvenirs sont restés présents dans ma mémoire malgré le temps passé... Une histoire en appelant une autre, j'avais largement assez de matière pour écrire un livre. J'ai fini par éprouver le besoin impératif d'évoquer cette période par écrit afin qu'il en reste une trace. C'est fait maintenant. Il fallait que « ça sorte »...Serge Galès