Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
La Passion et la Résurrection bretonnes de 1530 suivies de trois poèmes
EAN : 9782901737933
Édition papier
EAN : 9782901737933
Paru le : 7 févr. 2012
36,00 €
34,12 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782901737933
- Réf. éditeur : 173793
- Collection : TAL HA TAL
- Date Parution : 7 févr. 2012
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 680
- Format : H:240 mm L:160 mm
- Poids : 1.105kg
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : Poursuivant son exploration de la littérature religieuse ancienne en langue bretonne, Yves Le Berre présente ici le tout premier livre jamais imprimé dans cette langue : Passion et Résurrection, suivies du Trépas de Madame Vierge Marie, des Quinze Joies de Marie et de la Vie de l'homme. Première entrée du catalogue des oeuvres littéraires imprimées en breton, cet ensemble textuel d'auteurs anonymes est en apparence composite et si l'on devait en mouler les thèmes dans les mots clés d'un abstract, on obtiendrait : Jésus, Marie, homme, Testaments, vie, mort. donc a priori rien de bien affriolant ! Cependant, si codifié soit-il, si corseté dans le traitement de thèmes qui ne souffrent pas l'inattendu et n'offrent aucun suspens, il n'en dévoile pas moins toute une humanité. Yves Le Berre met en lumière les jeux théâtraux, la rhétorique, la stylistique et les bricolages, les petites entorses qui sont la chair du texte. Quels enseignements sur les moeurs, la société et la langue du temps ; quels éclairages sur les manifestations artistiques de cette époque (églises, calvaires, ossuaires), encore visibles mais bien peu lisibles pour nous ! Menant son étude avec rigueur, sans complaisance pour son objet mais aussi sans préjugés, Yves Le Berre montre que le breton de ce temps-là était une langue de culture au service d'un peuple auquel elle permettait l'accès à une réflexion sur le sens de la vie et de la mort. Donc - paradoxalement - une langue de progrès et d'émancipation.






