Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
LA FIN DE LA SOCIETE CIVILE ? - UNE PERSPECTIVE ANTHROPOLOGIQUE
L'Harmattan - EAN : 9782336534466
Édition papier
EAN : 9782336534466
Paru le : 19 juin 2025
25,00 €
23,70 €
Bientôt disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
A paraître 19 juin 2025
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782336534466
- Collection : ANTHROPOLOGIE C
- Editeur : L'Harmattan
- Date Parution : 19 juin 2025
- Disponibilite : Pas encore paru
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 242
- Format : 1.30 x 13.50 x 21.50 cm
- Poids : 288gr
-
Résumé :
La société civile est une notion hégémonique. Sa réémergence récente, en plein épilogue de la guerre froide, est étroitement liée au déploiement d’un impérialisme « démocratique ». C’est pourquoi elle est souvent réduite aux ONG dans une logique de bonne gouvernance. De leur côté, ces organisations tendent à devenir des entreprises de moralisation. Ecartelées entre étatisation et marchandisation, la capacité de contestation des ONG paraît s’étioler et de puissants mouvements sociaux les débordent cycliquement.
Dans le contexte actuel de raidissement autoritaire des États, cette évolution conduit à une réévaluation théorique et pratique de cette notion et à poser la question de son évanescence éventuelle. - Biographie : Antoine Heemeryck est anthropologue, chargé de recherche au Musée national du paysan roumain (Bucarest) et chercheur associé au CESSMA (UMR 245). Ses enquêtes portent sur des sociétés postcommunistes. Il a mené des investigations dans des entreprises, sur la société civile, le patrimoine et l’urbain. Récemment, ses réflexions portent plus spécifiquement sur la gouvernance bionumérique et l’écomoralisation.