Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
La brièveté des décisions de justice - Volume 125 (Conseil constitutionnel, Conseil d'Etat, Cour de cassation) Contribution à l'étud
EAN : 9782247126231
Paru le : 24 avr. 2013
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782247126231
- Réf. éditeur : 962006
- Collection : NLE BIBLI THESE
- Editeur : Dalloz
- Date Parution : 24 avr. 2013
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 665
- Format : H:244 mm L:164 mm E:33 mm
- Poids : 1kg
-
Résumé :
Travailler sur la brièveté des décisions de justice c'est travailler sur le métier de magistrat. [...] réduire, réduire encore et réduire toujours plus l'expression de leur pensée, de leur jugement. Pas étonnant que les décisions de justices soient brièvement rédigées. [...] La question est simple et clairement posée, comme il se doit, dès l'entrée de la recherche : quel(s) sens donner à la brièveté des décisions de justice ?
Et pour mener le lecteur dans cette recherche, le chemin est balisé avec soin : le terme "brièveté" est définit avec grande précaution, celui de "décision" est circonscrit à la motivation car, écrit l'auteure, elle en est "l'âme" et les décisions de justice sont celles rendues par le Conseil constitutionnel, le Conseil d'État et la Cour de cassation. [...] La brièveté n'est pas univoque ; elle change de sens avec les époques, le contexte culturel, les circonstances politiques, la configuration juridictionnelle ; elle peut tout à la fois assurer l'autorité des décisions ou l'affaiblir, éviter un conflit avec une autre institution ou la provoquer, être source d'incompréhension ou ménager des évolutions jurisprudentielles futures. [...] Une belle thèse où, en faisant sienne la pensée de Pascal – "trop de longueur et trop de brièveté du discours l'obscurcit" – Fanny Malhière dévoile toute la mesure de son jugement et tout son talent d'universitaire.