Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
L'économie des dieux céréaliers
L'Harmattan - EAN : 9782738403414
Édition papier
EAN : 9782738403414
Paru le : 3 mai 2000
23,50 €
22,27 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782738403414
- Editeur : L'Harmattan
- Date Parution : 3 mai 2000
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 224
- Format : H:240 mm L:155 mm E:12 mm
- Poids : 392gr
- Résumé : Le tiers monde est trop analysé pour ce qu'il n'est pas encore, peu pour ce qu'il n'est déjà plus. L'autosuffisance alimentaire, devenue le mot d'ordre de la plupart des gouvernements, est-elle le dernier avatar des politiques de développement ? Mais alors que reste-t-il des promesses de l'aube des Indépendances ? En quoi cette priorité se départirait-elle des contraintes millénaires des sociétés traditionnelles ? L'équilibre vivrier, par ses implications, s'avère extrêmement riche pour décripter le fonctionnement d'une économie. En effet, il ne se réduit pas à une affaire d'estomacs repus ou de balance commerciale ajustée, il constitue le point d'orgue des civilisations anciennes : le coeur de la structuration démographique et sociale, le centre des jeux du pouvoir, l'âme du système des valeurs... Cette interprétation donne d'autres éclairages à la compréhension des économies africaines contemporaines. C'est l'ambition de cet essai. Ambition limitée, mais combien de discours ne sont que prophéties avortées et recettes erronées ? N'est-ce pas déjà, aux yeux des anciens, un défi sur l'insondable que de vouloir dénouer les fils de l'économie vivrière, domaine autrefois dévolu aux dieux céréaliers, les protecteurs d'un ordre cosmique.