Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
"Hirie dime, varchoas dide" - la mort et ses représentations
EAN : 9791092331639
Édition papier
EAN : 9791092331639
Paru le : 18 oct. 2023
25,00 €
23,70 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9791092331639
- Réf. éditeur : 233163
- Collection : KREIZ
- Date Parution : 18 oct. 2023
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 526
- Format : H:30 mm L:240 mm E:160 mm
- Poids : 600gr
- Interdit de retour : Retour interdit
- Résumé : Sur le catafalque de l’église de Saint-Gilles-Pligeaux se lit l’inscription «Hirie dime, varchoas dide», expression bretonne venant du latin « Hodie mihi, cras tibi» : «Aujourd’hui c’est moi, demain c’est toi». Ce titre rappelle combien les hommes ont de tout temps été obsédés par la mort et son pouvoir égalisateur. Sont rassemblées ici des études qui disent leur peur : celle de rencontrer la mort de façon subite, d’être confrontés aux épidémies et aux maladies ou bien aux accidents, de devoir se présenter au Jugement dernier. Ce volume présente les Actes du XXe congrès de l’association des Danses macabres d’Europe (UBO, Brest, 19-23 septembre 2023) qui a permis d’évoquer les représentations multiples de la mort et l’exceptionnel patrimoine lié à la mémoire des morts, patrimoine conservé non seulement en Bretagne mais dans tout l’Occident. Tous les champs de l’art et de l’histoire sont sollicités : les sculptures, les monuments funéraires, les peintures murales des églises et en particulier les Danses macabres, les enluminures des manuscrits, les gravures, la littérature édifiante ou allégorique. Les pratiques funéraires se multiplient au cours des siècles : la construction d’ossuaires, les fondations de messes, les obits, les testaments. Les motifs macabres se répandent dans les représentations de la mort du Moyen Âge jusqu’à nos jours. De nombreuses illustrations complètent cette réflexion sur le temps et la mémoire.