Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
GRELOTS D'OUTRE-TEMPS, 3EME EPOQUE
Stellamaris - EAN : 9782368681015
Édition papier
EAN : 9782368681015
Paru le : 17 mai 2013
14,00 €
13,27 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782368681015
- Editeur : Stellamaris
- Date Parution : 17 mai 2013
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 128
- Format : 0.70 x 15.00 x 21.00 cm
- Poids : 182gr
- Interdit de retour : Retour interdit
-
Résumé :
Voici enfin venue la troisième saison des Grelots d’Outre-Temps. Si les deux premiers volets de cette œuvre nous avaient permis de faire la connaissance d’un nouveau poète, ce troisième opus nous offre de mieux découvrir une nouvelle poésie. Chacun des textes de cet humble recueil peut certainement s’écrire en un jour, se lire en une minute, mais aucun d’entre eux n’osera se glorifier d’avoir germé en aussi peu de temps. Qui sait en effet le nombre de trimestres et d’années, de siècles peut-être, qu’il aura fallu à son auteur pour que puisse jaillir en quelques mots soupesés et choisis autant de vie et de joie, de beauté et d’amour, que de deuil invincible ? Chez Sébastien Broucke, la nature revêt de si beaux atours que même la mort en devient belle.
Le lecteur qui visitera ce monde renouvelé n’en repartira pas plus grand, il en ressortira simplement ragaillardi, enchanté, voire heureux…
Notre temps n’est qu’un jour que caressent nos bottes,
Allons notre chemin avant qu’on nous les ôte !
Il n’aura pas vécu qui ne vit qu’à demi,
En nous-mêmes toujours sommeille un ennemi.
Hommes ! Relevons-nous, en haut notre oriflamme !
À n’être que fumée, qu’au moins plane notre âme…