Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Femmes années 50. Au fil de l'abstraction, peinture et sculpture
Hazan - EAN : 9782754111270
Édition papier
EAN : 9782754111270
Paru le : 11 déc. 2019
35,00 €
33,18 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782754111270
- Réf. éditeur : 8715124
- Collection : CATALOGUES D'EX
- Editeur : Hazan
- Date Parution : 11 déc. 2019
- Disponibilite : Disponible
- Barème de remise : NS
- Nombre de pages : 224
- Format : H:280 mm L:240 mm E:18 mm
- Poids : 1.206kg
-
Résumé :
Catalogue officiel de l’exposition Femmes années 50. Au fil de l'abstraction, peinture, et sculpture au Musée Soulages de Rodez (2020).
Cette exposition présente des femmes artistes, peintres, graveuses, sculptrices à Paris dans cette décennie féconde où elles œuvrent en nombre. Certaines sont attachées à de grandes figures : Sophie Taueber-Arp et Sonia Delaunay ; d’autres sont impliquées dans l’âge adulte de la peinture : Christine Boumeester, Maria HelenaVieira da Silva, Judit Reigl, Marie Raymond ; d’autres encore viennent juste d’arriver : Pierrette Bloch, Anna Mark, Liliane Klapisch… Elles exercent, mais en ordre dispersé, une force agissante, décuplée par la critique et les galeristes. Elles oscillent entre l’art concret et l’abstraction lyrique. Malgré un déficit de reconnaissance, elles tracent une route dans ce qu’on appelle commodément l’École de Paris. Si elles adhèrent à ce mouvement, c’est souvent pour en déborder.
Cet ouvrage retrace leur histoire, des pionnières aux jeunes pousses, qui vont pied à pied s’affranchir des canons masculins et, dès la fin des années 1960, provoquer l’irruption de thèmes proprement féminins.