Nous utilisons des cookies pour améliorer votre expérience. Pour nous conformer à la nouvelle directive sur la vie privée, nous devons demander votre consentement à l’utilisation de ces cookies. En savoir plus.
Éthiques de la nouvelle dans la première modernité (XIVe-XVIIe siècles)
Droz - EAN : 9782600065979
Édition papier
EAN : 9782600065979
Paru le : 18 juil. 2025
35,00 €
33,18 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
-
Livraison gratuite
en France sans minimum
de commande -
Manquants maintenus
en commande
automatiquement -
Un interlocuteur
unique pour toutes
vos commandes -
Toutes les licences
numériques du marché
au tarif éditeur -
Assistance téléphonique
personalisée sur le
numérique -
Service client
Du Lundi au vendredi
de 9h à 18h
- EAN13 : 9782600065979
- Collection : CAHIERS D'HUMAN
- Editeur : Droz
- Date Parution : 18 juil. 2025
- Disponibilite : Disponible
- Nombre de pages : 456
- Format : H:152 mm L:222 mm
- Poids : 716gr
- Résumé : Comment lire les nouvelles de la première modernité ? Peut-on assigner un sens moral aux recueils de récits brefs ? À la fois proche de la tradition de l’exemplum, mais aussi du fabliau et de la facétie, la nouvelle vient incarner, mais aussi discuter, détourner ou éluder la réflexion morale. Si l’histoire de la nouvelle a longtemps été conçue comme une progressive crise de l’exemplarité, où l’on passerait de récits moralisés à des formes amorales, la grande diversité des récits brefs montre que cette histoire est à revoir. De Boccace à Madame de Lafayette, de Chaucer à Maria de Zayas, en passant par Marguerite de Navarre, Bandello, Belleforest et d’autres, le sens éthique des nouvelles change au gré des mutations idéologiques, mais aussi selon l’évolution du contexte éditorial, des pratiques d'écriture, des contraintes de la traduction, des exigences de la censure et du goût du public. Se dessine alors une histoire plus fragmentée et plus complexe, qui révèle la grande richesse d’une réflexion éthique dont la nouvelle, et plus largement le récit de fiction, restent un terrain d’expérimentation privilégié.