Essaim 52 - L'invention de l'objet a à l'épreuve de sa réinvention

Eres - EAN : 9782749280172
COLLECTIF
Édition papier

EAN : 9782749280172

Paru le : 25 avr. 2024

26,50 € 25,12 €
Disponible
Pour connaître votre prix et commander, identifiez-vous
Notre engagement qualité
  • Benefits Livraison gratuite
    en France sans minimum
    de commande
  • Benefits Manquants maintenus
    en commande
    automatiquement
  • Benefits Un interlocuteur
    unique pour toutes
    vos commandes
  • Benefits Toutes les licences
    numériques du marché
    au tarif éditeur
  • Benefits Assistance téléphonique
    personalisée sur le
    numérique
  • Benefits Service client
    Du Lundi au vendredi
    de 9h à 18h
  • EAN13 : 9782749280172
  • Réf. éditeur : 319773
  • Collection : ESSAIM
  • Editeur : Eres
  • Date Parution : 25 avr. 2024
  • Disponibilite : Disponible
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 200
  • Format : H:239 mm L:170 mm E:15 mm
  • Poids : 352gr
  • Résumé :

    Plusieurs étapes depuis 1958 ont précédé la revendication par Lacan de l’objet a comme étant de son invention en 1966. Quelles sont-elles et pourquoi cette date ? Sans doute du fait de la parution des Ecrits où il y affirme que l’objet a « répond à la question sur le style », et donc sur la lettre. De fait, l’objet a est dit-il une lettre algébrique qui porte le nombre avec lui : celui que détermine la division en moyenne et extrême raison. Pourquoi proclamer alors que c’est une invention ? Serait-ce pour préciser par avance ce qu’il faut entendre quand il dira que chaque analyste doit réinventer la psychanalyse ? Quoiqu’il en soit, cet objet a, non conceptuel ni traduisible, objet topologique d’un manque d’objet, comment le repérer (darstellen, présenter) aussi bien dans la clinique que dans le lien social des discours ?

    Deux voies privilégiées s’ouvrent à nous. D’abord celle de son lien au Nom du Père dans la mesure où c’est à partir de l’arrêt en 1963 de son séminaire sur Les Noms du Père que l’on assiste à la montée en puissance de sa référence à l’objet a dans différents domaines et sous différentes formes qui ont en commun de ne pas entrer en opposition binaire.

    Deuxième voie, celle des coordonnées de la fin de l’analyse et de l’acte analytique que constitue le passage à l’analyste -que le dispositif de passe est censé éclairer -, dans la mesure où Lacan affirme que c’est avec l’objet a qu’on peut aller plus loin dans le repérage de la fin de l’analyse, de par son nouage synchronique avec le transfert, et donc le sujet supposé savoir, et de par sa disjonction avec le phallus.

    D’autres voies d’approche sont aussi possibles : celle de la place de l’objet a dans la névrose, la perversion et la psychose, voire d’autres structures. ; celle de sa fonction dans chacun des quatre discours et dans le discours capitaliste ; celle de la connexion des objets a entre eux et avec le phallus, chez l’homme et chez la femme notamment ; celle de l’articulation de ses différentes présentations topologiques ; ou encore celle, plus énigmatique et contemporaine du séminaire … ou pire,  d’ « entendre un peu plus loin qu’à travers les verres de lunettes de l’objet petit a ». 

Haut de page
Copyright 2024 Cufay. Tous droits réservés.