Essai sur le mérite et la vertu

Books On Demand - EAN : 9782322419920

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Édition papier

EAN : 9782322419920

Paru le : 5 août 2022

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Détails

EAN13 : 9782322419920
Réf. éditeur : 233258
Editeur : Books On Demand
Date Parution : 5 août 2022
Disponibilite : Disponible
Barème de remise : NS
Nombre de pages : 192
Format : H:220 mm L:170 mm E:13 mm
Poids : 344gr

Résumé

Résumé : RÉSUMÉ : "Essai sur le mérite et la vertu" est une oeuvre philosophique qui explore les concepts de mérite et de vertu, en examinant leur signification et leur importance dans la société. Écrit par Denis Diderot et Anthony Ashley-Cooper, ce texte s'inscrit dans le courant des Lumières, période marquée par un intérêt renouvelé pour la raison, la science et la critique sociale. L'essai aborde la question de savoir ce qui constitue le véritable mérite et comment la vertu peut être définie et reconnue. Les auteurs discutent des distinctions entre le mérite inné et le mérite acquis, ainsi que des implications morales et sociales de ces distinctions. Le livre propose une réflexion profonde sur la nature humaine, la moralité et les structures sociales qui influencent notre perception du mérite et de la vertu. En intégrant des idées philosophiques et des exemples concrets, l'oeuvre invite le lecteur à reconsidérer ses propres valeurs et à réfléchir à la manière dont la société évalue et récompense le mérite. Ce texte est une invitation à la réflexion critique, encourageant une analyse nuancée des concepts qui façonnent notre compréhension de la moralité et de l'éthique. L'AUTEUR : Denis Diderot (1713-1784) est l'un des philosophes les plus influents du siècle des Lumières. Né à Langres, en France, il est surtout connu pour avoir dirigé la rédaction de l'Encyclopédie, un vaste projet qui visait à rassembler et diffuser le savoir de l'époque. Diderot a également écrit de nombreux essais, romans et pièces de théâtre. Son oeuvre est marquée par une critique de la religion et de l'autorité, ainsi qu'un engagement en faveur de la liberté de pensée et de l'égalité. Anthony Ashley-Cooper, 3e comte de Shaftesbury (1671-1713), était un philosophe anglais dont les idées ont profondément influencé la pensée des Lumières. Il est surtout connu pour ses écrits sur l'esthétique et la moralité, dans lesquels il défend l'idée que la beauté et la vertu sont intrinsèquement liées. Bien que Diderot et Shaftesbury aient vécu à des époques et dans des contextes différents, leurs oeuvres partagent une quête commune de compréhension et de réforme sociale, cherchant à éclairer les esprits et à promouvoir un monde plus juste et rationnel.
Biographie : Anthony Ashley-Cooper (26 février 1671 - 4 février 1713), 3e comte de Shaftesbury, est un philosophe, écrivain et homme politique anglais. Shaftesbury est né le 26 février 1671 à Exeter House à Londres. John Locke assista à sa naissance, en sa qualité d'assistant médical de la famille Ashley. Shaftesbury est en effet le petit-fils d'Anthony Ashley-Cooper (1er comte de Shaftesbury), au service duquel Locke était alors. À l'âge de trois ans, le futur Troisième Comte fut confié à la garde formelle de son grand-père. Locke se vit alors confier la direction de son éducation, selon les principes énoncés dans les Quelques pensées sur l'éducation. La méthode d'enseignement du latin et du grec fut poursuivie avec un tel succès par son instructrice, Elizabeth Birch, qu'à l'âge de onze ans, Ashley pouvait lire ces langues avec facilité. En novembre 1683, quelques mois après la mort du premier comte, son père l'envoya au collège Winchester. Timide et moqué à cause de son grand-père, sa scolarité ne fut pas des plus brillantes. Il quitta Winchester en 1686 pour voyager. En 1689, un an après la Glorieuse Révolution, Lord Ashley retourna en Angleterre et, pendant près de cinq ans, il semble avoir mené une vie calme et studieuse. Élu au parlement pour l'arrondissement de Poole, il se distingua bientôt par un discours en faveur d'un projet de loi prévoyant qu'une personne accusée ou soupçonnée de trahison puisse recevoir l'assistance d'un avocat. Membre du parti Whig, Ashley n'était pas du genre à se plier à une discipline de parti. Sa mauvaise santé - il souffrait d'asthme - le força à se retirer du parlement en 1698. Pour échapper à la pollution londonienne, il achète alors une propriété à Little Chelsea, et séjourne aux Pays-Bas où il fait la connaissance de Jean Le Clerc, Pierre Bayle, Benjamin Furly (marchand quaker anglais chez qui Locke avait résidé pendant son séjour à Rotterdam) et probablement Limborch et le reste du cercle littéraire dont Locke avait été un membre chéri et honoré neuf ou dix ans auparavant. Après une absence de plus d'un an, Ashley revint en Angleterre et succéda à son père en tant que comte de Shaftesbury. Il prit une part active, du côté whig, aux élections générales de 1700-1701, et encore, avec plus de succès, aux élections d'automne de 1701. Guillaume III lui offrit un poste de secrétaire d'État, que la détérioration de sa santé le contraint à décliner.