Démons ordinaires

Rivages - EAN : 9782869305526
VILLARD MARC
Édition papier

EAN : 9782869305526

Paru le : 22 avr. 1992

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  • EAN13 : 9782869305526
  • Réf. éditeur : 349579
  • Collection : RIVAGES NOIR (P
  • Editeur : Rivages
  • Date Parution : 22 avr. 1992
  • Disponibilite : Manque sans date
  • Barème de remise : NS
  • Nombre de pages : 158
  • Format : H:170 mm L:110 mm E:12 mm
  • Poids : 135gr
  • Résumé :

    Le jeu reprend bien vite, ponctué de nombreux grognements et de trop peu d'exclamations enthousiastes. Fadela ne les voit même plus, tous ces crève-la-faim qu'elle entube sans ciller. Elle survit ainsi telle une vivante contradiction mais, pour se donner du coeur au ventre, elle se projette rue des Islettes. La cave, les rats, la peur, la faim. Elle se fait alors plus vache, presque dure a cuire et ses gestes s'accélèrent sous le regard effaré des parieurs. Cette situation, codée, structurée, aurait pu durer jusqu'à la nuit des temps, mais un soir, un inconnu au teint pâle, Dan Lhostis, décida d'orienter ses pas vers le Périph et l'univers du Malik se prit a vaciller. Démons ordinaires regroupe dix-sept nouvelles. Les récits de Marc Villard ? Des blues, dont la musique chante longtemps dans le souvenir, une fois le livre lu. Villard ou le Charlie Parker de la littérature. (Michel Lebrun, Polar)

  • Biographie : "Je suis né le 29 juin 1947 à Versailles. J'avais dix ans quand mes parents ont déménagé à Reims et j'ai poursuivi mes modestes études en Champagne. C'est là également que j'ai commencé à jouer au football. C'est Jonquet et Penverne qui nous entrainaient. Puis retour dans une petite ville des Yvelines : les Clayes Sous Bois. Je rentre à l'Ecole Estienne après le BEPC et je potasse la gravure et la conception graphique avec Albert Flocon et André Barre. En quatrième année, j'opte pour la création graphique avec, comme point fort, la typographie. Pendant ce temps, trois guitaristes me proposent de les rejoindre comme batteur dans leur groupe de rock . Nous tournons durant trois ans dans les Yvelines en reprenant des morceaux créés par d'autres. Je joue au basket, au foot. Un peu de théâtre amateur aussi et, à 20ans, je pars effectuer mon service militaire en Allemagne, à Achern. C'est à cette époque, en 1968, que je commence à écrire de la poésie après avoir laissé choir mes velléités de peintre. Après l'armée, je travaille comme graphiste et publie en 71 mon premier recueil de poèmes qui s'intitule l'Amer. J'animerai au fil des ans plusieurs revues avec des amis poètes : Zone avec Arnaudet, Stardust avec Benoit-Jeannin, Le Grand Huit avec Messac, Kaeppelin, Labarrière et Villecrose. A cette époque, je rencontre Delbourg et Francoeur qui resteront des amis. En 74-75, Bernard Delvaille m'intègre dans son anthologie La Nouvelle Poésie Française. Durant dix ans j'écris exclusivement de la poésie, je me marie et mon fils Edouard nait en 1971. En 1980, je me remarie avec Christine et, parallèlement, me détache de la poésie pour passer à la fiction. Dans le même temps, j'écris un film pour Juliet Berto. En 1981 paraissent simultanément mon premier recueil de nouvelles, Nés pour perdre, mon premier scénario, Neige, et mon premier roman, Légitime démence, écrit en collaboration. Je commence à écrire des chroniques de rock pour le Monde de la Musique et, ceci, durant huit ans. Depuis cette époque, j'ai deux fils de plus, Romain et Antoine, des livres et des scénarios en plus également. Avec Christine, nous avons commis trois aventures littéraires tuées dans l'oeuf. En 1980, une petite maison d'édition, Hemsé, qui publie six livres. En 1996, un magazine littéraire -Ecrivain Magazine- qui connait cinq numéros (Pennac, Harrison, Charyn, Topor et Ellroy). Enfin, nous concoctons un magazine polar, Moisson Noire, dont nous publions un numéro zéro tout en quadri. Mais nous ne parvenons pas à réunir les fonds pour aller plus loin. J'ai recommencé à écrire un peu de poésie et j'ai développé ces dernières années des livres réalisés en collaboration avec des dessinateurs et des photographes ( Loustal, Hyman, Chauzy, Pinelli, Peyraud, Slocombe, Derouineau). J'ai tendance à produire des textes qui font le nombre de pages qu'ils doivent faire. Je ne suis plus du tout obsédé par la notion de roman ou de nouvelle courte. Après avoir rédigé une dizaine de scénarios, je me suis détaché de l'audiovisuel qui traite mal les créateurs à l'origine des films. Si scénario il doit y avoir, je préfère le confectionner pour la BD. J'écris également des fictions, chaque mois, dans Jazzman. J'habite toujours dans le centre de Paris car la ville m'est nécessaire, c'est ma qualité de vie."
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